F
1
Dur
|
mondjai avicole a été tenu à la Haye.
Hollande, en 1921, et le second à Bar-
|
|
1
ù
|
HE
|
A
Fc!
fer,
pathies et l'admiration de son peuple | monde - |
qu'en emp'syant les deux langues ü:u- L'une des tonférences les plus inté-
cielles du pays. C'est ce qu'il a fait|ressantes du congrès fut celle du
et ce dont les délégués et les citoyens ' Frère Wilfrid, de la Trappe d'Oka
de langue française lui sont profon-,
4 augmenté de 1225 en 1919-20 à
1725 en 1925-26, soit 57 oeufs par
poule en sept ans M Tayior a pré-
dit l'inscription des volailles mâles
pour le maintien de l'élevage et dit
clef de la ville au président, M Fd-
ward Brown, et à tous les membres
de l'Association Internatinale a Avi-
culture.
Le présideñt Brown. l'hon Wil-
vador d'Espagne, répondi- Les exhibits de volailles tuées, ap-
rent aux discours de bienvenue.
“A la fin de la cérémonie d'ouver-| pôts frigorifiques depuis huit mois
ture, le vicomte Willingdon fut l'in-|ont suscité un vif intérêt. Ces volail-
que Toni Se D coment du Ge [eva Elles étaiert merveilleuse-
nada les répréseñtanis officiels de 12° ment conservées et ont ét£ admirées
Pays du monde aura un retentisse- | de tous les visiteurs
UNE CAMPAGNE CONTRE QUEBEC
Ce grand événement internationa!}| nier et attendaient depuis le congrès
|
|
M. David Spence, député d’un des comtés de Toronto,
DEPART DH
£ Genève — L :
qui se disputent ls suprématie des
de foi, l'on croit que si on ne trouve
2vcune solution à ce problème de croi-
seur=, jeudi ée cette semaine. Hug-
S. Gibson. chéf de La délégation amé-
ricaise, prendra sur Dui-cmême La res-
pousulniité de suggérer l'ajournement
"Îée la conférence “sine dié”. après
avoir expliqué lat'itwle des Elats-
Unis :
Les Japonais s'accordent le mérite
d'avoir amené les délégués à conses-
tir à s'assembier de nouveau et si =
conférence réussit à accomplir quei-
que chose de substanticl ce sera sans
doute grâce à eux
que, par ce moyen. CR réussira à arri-
ver à un accord entre les nations inté-
ressées. D'un autre cûté, les Amé-.
L'Allemagne traverse ue pére
de prospérité temporaire Jamas la
production n'a été si considérable de-
eût © E -
a
‘ de cette convection On à fumé &- pagest à gone donnant con-. visles dus sepnéantmte dun Cup
mms 27 2 STORE
! ra s'attend à ke pre " L
F | visteuws à lex &œ [ & états qé Ages de vante en Emme
— Améral Mens est dants que Le pole. . nsuesnne |exmeare 7e
Le + | dE men eme ms an Se :
- = = asser :
| le jour de la fête de sainte Paninss mit «& smscmntle, à Onpémte & D & cs & vente en Euuge peur Le Le
Ange — Mombrieuse as | cé constibmés pour Le mgemet| us Des à Boamum 1 est gemst-| Duran peur Le seigle ct Fange e
sistance et l'amusement des vonteurs M Bee Lie que De éute de lammembilée sut goumn Jamie goémnt, SMS gun
| Québec — On @t que trois gaffe Winnipeg I y aus nn gant | coneite
st ont été opérées à Sainte-aune eme de sus Dh me auohrment RSC 7er l'entrensi-
de Beaupré à occasion Se Le Se) Eros rs rene se de Cagonce cerae ee ete
le ln suinte Quinse mule permanes| Le président Coolidige décide Sex ê sept œsctouss & le Cmgé- D Dumng ft œut poémgee En
| de toutes les parties du Cansde et de ne pas se présenter
des Etats-Unis étaient présentes à le 1%
Foret arte
D agid CRy. S D — La 4 sun de
Voici les gærisons qu'en attribuer
à sainte Anme-
RE ficats médicaux à Leudfes y:
ssese =: DEUX PRNES TE ee
a Inissé ses béquilles em ex-sete . 2 Hesoieie
VITE AU CANADA
: : Fe puis k revalorisation Le sombre des
prononce un discours qui le rendra ‘célèbre — Ce As FER] dimmue. bien que le 20œæ-
qu'en dit M. Léo-Paul Desrosiers, du “Dezoir’’ |ore es ouvriers ait augmenté depuis :
a _—— ia guerre de quatre milles L' Igieux prirent part à Le peucession qué
‘ | : L récé Cums-O OCubeceer de 2
accompli est donc rationmel et il est} précéde la mege Canada samedi Soeurs mécaus aux momigeants amaur, Le mie
pps er dress se le ets Eîles 2 Ps ps : met À mes pe pri le 2
us le) cont ere en}. . effort: cours de cette imposante cérémeme. Montréal — Leurs Aves Euçae| nn à mimstèse cdi (Sen gai set …
nom de “Dave” Spence, député de pius du parti conservateur des gens nets malt - des
S ‘tm de nie lemvalée uns en 2$-
Parkdnle, l'un des comtés de Toronto.|qui n'étaient pas mal disposés tout
vient de pronsncer un discours qui le | d'abord {des stocks: on sue de é-| que :
rendra célèbre dans le Canada entier.| Elles isolent dans le pays l'Ontario. | dits et on ne pe ms a . ne
M Spence a attaqué Quélk-. et|je parti conservateur. et surtout To-|,.rdra avec bénéfice ou avec perte
| : _ - : min premier ministre de l'Angisterse emetsre des cerDficats
: avec une vigueur tout à fait remar-|ronto, devenus depuis si longtemps|p, ÿ la æ officielle à Son ous puis met le hé de miens le _ per Le carilfen de la tour de ln
quable… Tout ce dont cette province |jaaue des préjugés, de l'intolérance |pagemagee en ce mme en p| , Eurellence le Délégué pouce quite «t @e Cats ut Oune Dune ce &! victare
a besoin. a-:-il dit, en substance. c'est| 4e l'étroitesse d'esprit et du fanatis-
| intérieure qu'extérieure Elle produit Apostalique enter ces ne
é« béns coups de maillet de bois sur me religieux et racial Ce n'est pas in tu —_—_—— Les ee ee ne Ouen - Le cle de De Quur |!
+ * là téte. Et si le maillet de bois n'est| Québec ou l'Ouest que la province| étranger. o CRE céricile Ge les membres de dur suite dem | men de De Suuné peur we = cute cummene SES à inge-
n'est assez dur, on peut employer un| voisine met «2 quarantaine. et autour Produire est facile La @ffcuté | 5.2 ror- qe Mg- A7 rent our Le quai Das SEE UE menamdes à Le Cumanisninn de se cei0e nues corses URSS
mailiet de fer. La race anglo-#axon-|esquels ells tra-e un cordon sanitai-|... de vendre dre Camukb. éfégu apostolique mn eax Lagés que lon avt étemûs de cod Le cemmui de ces médecins Un pemmmage en vue dus Le
ne doit s'unir pour ki montrer que|re. c'est elle même que le reste du| Cette abondance des stocks vient} nm à ex leu le dmanche 22 Puis le élercodice pumgsà Lepéseit auec Le sescème qui secs me paie M JE Crus 2e Su Fee
c'est elle qui gouverne ce pays €t|Lpays sépare avec précaution des au-|j. causer une baisse de pris dans mille à es Em. à T2 ‘où en avait élevé un das De garde hs médeons qu grens de veus es HÉCMOERS pour
qu'elle ne permettra pas à noire na-|tres unités canadiennes Cest elle-|,. Lrands magasins si promsmeée| Le à 5 d'est tr = nn honneur prises Lee armes pen amougaucs sem cher qu y à banmaaug de tout. à
tionalité d'en faire ce qu'elle VOwira | même qui se fait hair au lieu d= ré-|quelle à provoqué une quantié|..ment du palais ri sea" à une que Da fender du Rupai ZDme minstiee commen Ctbuwem De mutt auec De uamente, à
Voici, en plus. un extrait déli-' pandre sa haine contre les autres. La tasili ses se par les ras Régiment juni Tiyune natal 2m 2m Sunné et ce minier peurs tutes es Douce, de Done
; à déssen s Saint-Patrice et Sansexz Aprés Fen-|Emm “Gné Sexe De Eng” oepansnhie des éfpenmes de de de nunen € De QUES Ste
Globe”, de Toronto: "Québec devrait en vient à redouter et à appréhender -Nous sommes de nouveau en plei-|,.é. dans là basil — ent Same suis 8 y amet <a offert r'mmmgrasc dépurni Les pures 2 us bre quete d'heue Le
attraper des coups de bâton sur la) Ele ébigne et elle se fait détester. | infation”. s'est écrié un membre}. PE jus a été lue Myrfper Le poucece de Québec dans ls : pe poncounc Mur ei LR cocilen panel ©
tête. — «tr elle me sera jemais d'a-. Les Canadiens français ne sont pas | 4, Hanss Bund à Francfort Le 20%-|Cuuis y répond# <° duc Le Léné- [res de Spencermusé parts Œuntote cu! = Le cnteun uminé fit peur D
cord avec la politique conservatrice. les seuls à le remarquer. Le “Globe”.|L.e des billets en circulation augmen- Set . tai s : La cfrémenie Des décorations fut has ant é2é Bal£er Sane-téque [eue ER ét be jun ©
LI ne Cevrart plus jamais y avoir de qui a maintehant des tendances con-|4. <a effet nt 1 sa - le et jemmei léépiées à luccasum de cette we pécnde de unit ec méimnt de EE D
tompromis avec Québec La carah- servatrices après avoir été si long- . Eu
.SeTtain et ce n'est pas de convertir | fanatisme
sation du Saint-Laurent devrait être »emps libéral le “Citizen”. d'Ottawa
faite e: le blé canadien devrait être «+ nombre d'autres journaux angiais
envoyé dans les vieux pays par leé senalent les mêmes faits et parlent
ports ces jrowi ces martimes, toute, de la même manière Ecoutons les
l'année e* noz nr Mortréal ou Qué- baroles sensées du “Citizen”. parlant
bec, pendant l'été.” des déclarations de M Spence et d'au-
Etioitr opinen cniarnenne Elles rendent très
tres semblables
d'achats comparable à celle des tezps
cieux reproduit textuellement par le,c'est son arrivée au pouvoir que l'oe | fat
Î
Maïs gardons-nous de jugements
trop précipités ou trop péremptoires
La grève des mineurs anglais na pas
épausé tous ses effets hienfaisants et
des crédits nouveaux peuvent élni-
gner un revirement trop brusque
La vérité c'est que l'Allemage dé-
pense trop: que mi bles vilks mi les
base financière exltrémenent mice
eures -
u M Cu = plait égiement des
_ mcnwe-…ws de chutes des glass de
strict mm Onux qu vestest der à M
messe Cagcés le zu pus benne
et aetmmment € CE qé y
REP
Une enquete au sujet des } puces 1 ue du pert eut aïée
‘ : œuvres de pluie ont été trés Sunen- | tuée ue énllls & à Lune Re
M. Spence possede Gu moins une. difficile À un chef conservateur de | Etats ni les provinces n'ont voulu se bisons de Wamwright an dyuant ds manre peur à veus, LL écoute danse émtet Fer On pacte de dtpenser des cetai-
quahté. ct cest celle de la franchise prècher l'unité Bationale Seul un! bher à lécomsmie L'Allemagne vi ——— dure enate au que de Prace mére « jurdimers sant és ms 2es de élues pour emails Comes.
vulgair-. Il représente cette étroite barti à l'esprit large peut espérer des ques un grand luxe secial ser une) Eimontoe — Le gouvernement du [Guiles La Sue de pemerqueurs durs «+ espèrent we ahondante mocs- CE M Cour QE EE ee
vpinion on!arenne formée de preju- succès durables dans un pars qui è
gés. imrerialiste et loyahste jusqu'à comme le Ca=zada contient des élé-
toutes les cxirérnités, qui a trouvé.! ments religæux et ethniques si vVa-
gsrre surtout. son refuge riés ” ‘
dans le narti conservateur Avec le
Dr Edr arts M. Hocken. il latte les
paéss:o1; ant:-raciales de la ville de
cepuis :*
La convention de Winnipeg
Plus le temps passe, plus la tâche
te la convention de Winnipeg se des- |
Toronto. et caresse de la maun le ds | sine nettement. Elle aura un chef à
de ce fanatisme étroit # exclusif | se chetsir. doute, mais elle aura
D'ailleurs. ce n'est pas Québec seul | ;rtout à élargir la mentalité du par-
qu souffre des idées e: des théories tj Largeur d'esprit. largeur d'idées.
‘étroites ces conservateurs de l'Onta-|tojérance. respect des opinions des
rio et surtout d: Toroatc L'Ouest | sutres sympathie active et agissante |
reçoit très souvent des coups.de bou-|pour toutes les provinces, voilà des!
loir lui aussi Et il s'en plaint avec) mots que le parti conservateur doit
une énfrgie semblable à la nôtre réapF e. Exclusivisme, étroites-
L'effet de ces n..aques se d'esp haine pour ceriaines ré-
Toutes ces attaques ont un efle* gions #f certaines races. intolérance |
excommunicailons voilà |
le rente du pays aux idées de Toronto «e qu'il doit désapprendre te plus vite
i
l
}
| -n motmRs
Mais elle peut se tirer. comme
certains prodigues travailleurs qu
échappent au défis à force de chan
ce et habileté À Rummeisburg
à Cologne, en Bavière. se sumt déve-
luppés depuis la paix et pendant que
le peu; lé allemand étant aux abois
d'énergie Dans ce contraste se com
centre tout le problème Avec =
détresse de ses rentiers avec l'argent
elle pour la sauver” le 2e sais Pen
ne remplace pour ue peuple sans coie-
vies le travail des paysans Or les
Alemands n'ont jamais) aimé cultiver
la terre et ils la cultivent dé mins
l
fare enquéte dans certarss rappocts)le ligue Sincenmes Mages En
qui veulent que des sens de Was ant parte de este
æright meœus e= Dberté ravagent les Une dunéfanu ehctrue jees-
—_— 0" De ——
‘Ouest 2 bescin de 3200
moissonneurs ceîte annee
fe, aa ue er de le et de ju
lation comme james en 2e Re « à
vont fourmis per VE et GO par Le Pme matm Les Vans USE
Coicæmbée-Angiase 2666 iront en |pasmeunt runs Jus à Cum |
Sashitrheuan É006 en Alberta et} Agcés auuir mai Eeucèxle Mng-
11866 au Mamtobe Le premier con sue et Tue ds semberquenmnt À ! sumcturims de ME que pimé dx Mn
gage arseers à Winnipeg Le fr Sage peur Tuer D y un sont lame + l'abete et de 2 Suetue- À
septE me DE 7 cils
l *
p:
‘leurs réclames,
! aq
nombreux et
Bonnes vacances à tous et à la se-
… J. C. à Letellier
Le président présente le camarade
Raymond Bernier, président du Cer-
clé La Vérendrye, qui nous met en
garde confre “Le miräge trompeur et
les’ séductions dangereuses de la
ville”. ‘ ,
Le conférencier admet qu'il y a du
bon monde à la ville, mais il avoue
que le vice est plus facile. Il se pose
LES question suivante: “Est-il plus fa-
cile de se sauver à la ville qu'à la
campagne ?”, et il répond que l'on
peut se damner partout, mais que la
ville présente plus de mauvaises oc-
chsiofs. La campagne offre plus de
choses moralisatrices. ‘Le semeur
ne se courbe pas devant les hommes,
mais devant la terre" Le clergé et
les habitants, voilà les deux facteurs
de la race canadienne-française.
Les villes, par leurs manufactures,
sont souvent des
écrans de standale. Les épidémies
LS TEE
LR LL. £ #7 Æ
TE & RE ph 64 *
sistes y étaient. .
L
Séance inodèle de FA. C. LC, -
à 7h. 30 du soir
11h84 12h Sam. —2h 86h pm
CHIRURGIE ET GYNECOLOGE
Heures de bureau: 1 à 3 pm., 7 28
éveillent dans l'âme de vives émo-|ardeur, les difficultés ne, feront que| Que] hasard, dans ces parage# d'eau
Président d'honrieur: Mgr l’Arche-|tions et créent de fortes impressions.
vêque {qui retenu par sa visite pas-|Le camarade-veut les communiquér
torale, se fit représenter per Mgrliaux amis, lès amis eux-mêmes veu-
lent eti faire part .aux intimes, et le
sident régional. de l'apostelat se développe, la for-
Celui-ci explique le programme or-| mation s'acquiert.
dinaire d'une séance de l'A. C. J. C.| Au cercle enfiñ on # sous les yeux
Elle commence par la lecture spiri-|le bon exemple, sa contagion ne laisse
tuelle. Le R. P. Longpré, 8.J., déve-| pas de s'exercer, les volontés arden
loppe le môt d'ordre suivant: “Visez|tes autant qu'éclairées se liguent
décupler les énergies de vos Ames: | jouce. La bête, les ayant aperçus, se
vous sbrez vraiment de la race dos | irigea vers eux et lorsqu'elle fut suf-
héros que l'Eglise et le Canada n'ont} ment proche M. McKay l'assom-
jamais refusés à Dieu. ma d'un violent coup de rame.
Allez de, l'avant, soyez enthousias-| L',ant montée à bord,et solide
tes et vous goûterez les joies les plus |. 5t atachée, M McKay et son fils
pures de l'âme. Comme le voyageur se firent remorquer jusqu'au pied de
de la montagre découvre des pangra-| =, Le Desery où la foule ne tarda
mas nouveaux et étend sbn horizon |®* ,
à s'’amasser ur voir et com-
at fur et à mesure qu'il a. 26
men le phénomène. .
l'enthousiasme, en vous pu : pè :
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vant”. C'est un appel à l'idéal, à la} au labeur national. Comme vous le|leste, il vous fera découvrir”en vos
formation par la piété, l'étude et l'ac-|voyez, mes chers amis, vous avez|âmes des inconnues, de -nou-
tion, puis une mise en garde contre |tout à y gagner et rien, absolument | velles puissances d'aimer et par con-
l'apathie. Méfiez-vous de l'esprit du|rien à y perdre à vouloir être des |séquent des nouvelles sources de bon-
jour, de l'esprit de prétention, de l'es- hommes utiles à votre pays plus tard. | heur. Chaque succès que vous rêm-
prit de critique: soyez des enthousias- Allez de l'avant! porterez sur vous vous apportera une
tes. Voici le texte: (c) “Allez de l'avant” Ayez auljoie nouvelle qui compensera large-
“Mes chers amis, voici le mot d'or-, coeur un peu d'enthousiasme. “C'est ment. votre effort.
dre que je voudrais vus laisser com-| l'enthousiasme, disait Montalembert,| Allez de l'avant, soyez enthousias-
me couronnement de cet intéressant | qui a créé les Francs: c'est lui qui a! tes, ettcroyez que c'est dans le sol du
et même très beau congrès: “Visez|chassé l'étranger de notre sol au|Pays que votre patriotisme doit avoir
baut' Ne négligez rien! Allez de|moyen âge: c'ést lui qui a fait les | ses racines et que le Canada français,
l'avaat!" : és croisades; c'est lui qui a constitué | que le Manitoba doit l'emporter dans
Visez haut! cette chose si fière et si renommée | Votre amour sur toute autre région.
. (m) “Visez haut!” et je vais vous | autrefois dans le monde entier: le pa-| Allez de l'avant, soyez enthousias-
dire pourquoi. Le temps des preux| triotisme français.” tes en tout, partout et toujours, et
et des chevaliers est fini. Roland dort| L'enthousiasme, ce n'est pas autre | Vous garderez votre jeunesse. Bien
à Ronceveaux. les croisés ont laissé | chose que la volonté très ferme et plus, elle se renouvellera eomme celle
le renom de leurs exploits dans l'his-|très ardente d'atteindre le but rêvé.|de l'aigle, grâce à la vivacité et à
toire, nos ancêtres reposent dans leur |C'est cet élan qui nous pousse irré- l'actualité de votre foi En effet, ce
tombe après avoir parcouru le conti-|sistiblement à la conquête de tout |que vous croyez aujourd'hui ne chan-
nent où l'on retrouve à chaque ins-|ce qui est grand, noble, généreux. gera pes demain. La vérité que vous
tant la trace de leurs pas, ils se sont] Mais si vous voulez que cette divine | défendez, le bien que vous ‘poursui-
couchés pour le grand sommeil. C’est | flamme de l'enthousiasme continue à | vez, la vertu que vous recherchez,
| vous maintenant, nos chevaliers mo-|éclairer et à réchauffer vos Ames, l'honneur dont vous vous glorifiez,
tt
—— | Latourelle Frères, prop.
Le temps l'a éprouvée —|161, NOTRE-DAME EST, WINNIPEG
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ant cét&æ période elle s’est ré-
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vélée une bénédiction pour des
15-19. Ferreauit Lône, Montréal
milliers. Elle est en passe fa-
veur à travers. tout le Canada
et son excellence a transporté
sa renommée de. l'autre côté
des mers. Même si elle se ven-
dait Je double de son prix, ce
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nombreuses, les fortyes instabiles,
les sans-travail sont .les plaies qui
contaminent nos cités Le sajut des
Canadiens français, conclut l'orateur,
est dans les groupements ruraux;
c'est Ün rempart infranchissable. :
M. Doucet remercie le conférencier
et lit une dépêche envoyée par le
Comité régional à M. l'abbé Jutras,
curé de Letellier, gravement malade
à l'Hospice de Saint-Boniface.
M. l'abbé Sabourin tire les c@nclu- |
sions de cette séance. , D'abord, il
donne le remède au luxe chez la fem- |
me. C’est l'éducation, basée sur une
plus forte dose d'esprit rural. Autre
mal: les programmes d'études sont
les mêmes pour les enfants des villes
et des campagnes. Pour guérir ce
mal, faisons de la saine politique, de-
mandons à nos légisiateurs un pro-
gramme plus rationnel, plus propre à
préparer l'enfant à la vie qui l'attend
Ce n'est pas là une infériorité, mais
une supériorité que d'avoir un pro-
gramme suécial pour nos enfarits de
cuitivateurs. Mettons plus d'ensei-
gnement ménager à l'ééble. Rurali-
sons l'éducation.
Rien de plus pratique que des idées
justes. Or, les idées s'acquièrent par
les bonnes lectures, d'où la nécessité
des bons journaux (la Liberté, le De-
voir, etc) et des bibliothèques pa-
roissiales. A ce sujet, l'orateur cite
tout le bien opèré à Saint-Pierre par
up roman canadien: ‘La Campagne
canadienne”, par le R. P. A. Dugré,
OO
pour l'idéal, et c'est pour cela que
dernes, qui êtes appelés à combattre | méfiez-vous de l'esprit du jour.
toutes ces grandes choses qui ne sont
1 C'est un “esprit critique” qui.|autres que Dièu que vous aimez, se-
qui consiste les articles pour mis-
sions. Jûtinsez-nous connaître in
Monuments funéraires
vous devez viser haut. sous prétexte de tout rectifier, de |ront demain ce qu'elles sont aujour-
| Le chevalier acéjiste a une superbe | tout redreser, paralyse totÿs les bons d'hui et vous engageront toujours à
devise: ‘Esto vir — Sois un homme!" | Mouvements. Laissez faire ces gens-|être de parfaits acéjistes.
Ses armes sont: la piété, l'étüde, l'ac- là qui prétendent détenir tout le mo- Mes biens ,chers amis, l'espérance
tion. Comme ses frères d'autrefois, |n°Pole de l'intelligence, de la science; de l'Eglise du Ghrist, fondée et éta-
il porte dans son coeur ie nom" de!qui ne font que censurer les plus heu- blie, ici, dans l'Ouest, par les Pro-
celle dont il veut se rendre digne. Et|reuses initiatives et n'ont pas létcou-! tencher, les Taché, les Langevin,
celle-ci, qui est la dame de ses pen- rage d'entreprendre quoi que ce soit. ! © . hic FORD 0 M FER On
sées et pour laquelle il serait prêt Passez outre, re vous en OCCupez pas, nadienne-française ici, au Manitoba,
tout sacrifier péur son honneur, sa|vOus Perdriez votre temps. ee
gloire et sa défense, c'est la patrie. 2- Méñez-vous de l'esprit du jour |trie qui saluent en vous ces nouveaux
À la veille de s'endormir dans une! énCore, car c'est un “esprit utilitai- | Chevaliers!"
|atmosphère délétère et aspsyxiante re”. | Sans doute, je conçois que cha- LE COMITE DE PRESSE
d'indifférence, de routine et de négli-|4ue jour doit nous apporter la subsis- DU: CONGRES.
gence®les jeunes de chez nous n'ayant tance, sans quoi nous ne pourrions (A suivre)
pour tout horizon que la politique et | P#S vivre. Mais il faut se rappeler er —
les carrières professionnelles entendi- | AU© l'homme ne vit pas seulement de La : ce de l’ Angl te
i .| pain. Et quand on vous demandera: ngssan js eLerTe
A et là conquête normande
| “L'heure est venue, dit:la patrie, le-|“A quoi sert-il d'être de l'A. C. J.
| ?* Combien cela rapporte-t-il?”,
répondez que cela sert beaucoup à| Rien n'est plus lumineux, rien n'est
fai besnin de vous” Puis |! formation intellectuelle et morale ii que l'article «rise
elle ajouta: “Viens, 6 jeunesse, je suis | de Chaque membre et que cela lui rap-, < Mstorien drevelyan dans L Ob-
sente M voit re bless porte en*même temps un immense sci) sur la naissance de l'Angle-
mes jeunes. Je suis riche, je veux|2vVÿtage dans la vie, celui entre au- erre après la conquête des Nor-
que ce soit les miens qui m'exploi- | tres de savoir se débrouiller dans] Mands. Cinquante ans auparavant
| . l'Angleterre avait été conquise r
fm Je suis belle, je veux que ce|n'importe quelle circonstance, et de 8 q pa
i lui apprendre à être un bon Canadien | Canut le Danois. Elle avaft été en-
soit mes enfants qui me chantent. PP R ‘
J'ai eu dans le passé dé vaillants ser-| français. Dites aussi que cela ne rap- vabie la même année (1068) par Har-
viteurs, je veux que ée soit vous,‘mes|Parte pas d'argent; au contraire il ere bed De sage dondt 3
chevaliers, qui les tiriez de l'oubli. faut en donner, il faut payer. sa coti-| POrtance. Ce qui donne à l'invasion
| Et depuis ce temps, nos nouveaux | sation Si le futur candidat com- de Guillaume le Conquérant la signi-
| chevaliers oùt hé p t et prend cela, c’est du bois pour faire Un fication d'un tournant dans l'histoire,
| t marché. prèchas bon acéjiste. c'est la supériorité de la civilisation
| répandant partout leur saine doctrine à francs-normande. Le grand b
et faisant oeuvre de Patriotes éclai-| sn Rregltans enfin de l'esprit vu À ] - : & eux
rés et soucieux des intérêts de toute | Jour: c'est un ‘esprit sceptique” qui nent eue nn ete
ta race. se plait à dénigrer tout-ce qui incline|dre. l'administration, une rigueur
di den lan respect de notre sainte religion |t®mPérée par le respect juridique.
° es | Or, vous, mes bien chers amis, éévant | S'il vainquit ce fut grâce à sa cava-
(b) “Ne négligez rien'” mes jeunes | cette attitude, ayez la franchise et|lerie “gauloise” importée de France
amis. L'A. C. J. C. c'est un arsenal}, crânerie qui conviennent à des|alors que tous les Scandinaves et à
où il vous sera lisible de vous équi-|ccnvaincus. A quiconque vous tien-|l'origine, tous les Germains ne sa-
per pour les lutts de l'avenir. C'est | irait le langage de Néarqué à Po-|vaient combattre qu'à pied S'il
là que, par la méditation de l'idéal j,eucte: “Ce zèle est trop ardent, | Maintint sa conquête ce fyt grâce à
catholique et français, vous vous pré- | souffrez qu'il se moüère”, répondez | S0n clergé et à ses barons, grâce aus-
pare à être pour notre pays des ser- | avec la simplicité et la dignité qui|si à son génie personnel Pendant
viteurs prudents et utiles, des me-\ caractérisent le vrai chrétien: “On|trois siècles l'Angleterre n'a parlé
neurs d'hormmes qui n'égarent pas| que le français et le latin. L'anglais
leurs compatriotes hors de nos voie | = — {était devenu un patois de paysans.
providentielles. C'est là que vous) Pour le calarrhe C'est l’u-|Et c'est après avoir été erichie et
aCQueprez.. le sens national, c'est-à-| ne des princi pales recomman- fécondée par la civilisation française
dire cette disposition par laquelle. | dations de l'Auïle Eclectrique ét lätiné,” ‘qué 4 ‘latigue
dans tous les actes de vie, on se | du Dr Thomas qu'elle peut être | put s'épanouir magnifiquement üÜans
souvient des réalités de la race et de! employée pour l'usage interne |Chaucer, Shakespeare et Milton. Com»
la patrie pour en accepter les devoirs | avec autant de succès que pour!plétée par Henry d'Anjou. par Bruce
C'est là que vous vous familiariserez | l sage externe. Ceux qui souf-!ict Baillol en Écosse, l'oeuvre de Guil-
avec l'histoire qui orne l'intelligence, | nt du catarrhe trouveront }laume le Conquérant marque i& com-
wmeuble la mémoire, façonne’ la vo- que cette huile, employée con-|mencement de l'Angleterre moderne.
lonté et stimule à l'action * Lorsque | formément aux directions, don-|Mais tout ce que Guillaume lui a ap-
vous verrez défiler sous vos regards | nera un prompt soulagement.| Porté de bienfaisant et fécond, il
ravis, dans un rayonnement de gloi-| ['n grand nombre de malades|tenait de la France, depuis l' .
re, les figures des grands ancètres, | çn ont obtenu soulagement ct{sation de l'armée jusqu'aux formgs de
quêique chos de eur foi rqbuste et ont envoyé des émoignages, l'architecture.
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ge nr ll ministre pt hé.
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re français «1 que pendant les suîres années, linstitutéur, ST
juge à propos, explique en français es maliéres du programme
à lésage de toutes les écoles de ka province La grande téche
de l'Assoriation Cancdiennt-Francaisr de l'Alberta, c'es que
- luarteDuphémée Garand Mère à ln “Minerve”, d'établir É
Au cours de leur récent congrès tenu à Edmonton queue efants C'est déj établir que) lupinion publique vinces.
compatriotes ont mesure be = " = MS |jonepis l'ainé de cette faille qui gouvernement proviscire Les mes, où les Acadiens repreñnent
nee chemin parcouru depuis un 2n./.4 L jour à Sainte Martine de Cha-|ginis Men pensents admettaint ss] pouvoir, place de leurs pères prescrits,
depuis l'onganisation de leur grand organisme national Lemnguny. Je 20 décembre 1950, est} conclusions mais il ne faut pas rain-| met prudent de ascension est constante. Parce
no H faut d'abord tenir compte qu'en Alberte comme ailleurs | tune souche æger parmi ceux-ci, évidemment. leitre des fautes et le se fait sans frand tapage, elle
tout était à (aire. L'an dernier on à dà procéder à un inven-! Pour améliorer = ce bon }romimé Butier qui le provoque en duel} quelquefois de marcher sous préteite me point frapper ceux-là même
taire général des forces mationakes ct de la hat de copie canadien vint s'étair à Saimt-[à ce sujet que le chemis n'était pas sûr. en sont les témoins quotidiens.
f'nars f à ; : Ee s | Remi de Napierville vers 1848 sur} Hu député de ls Baie Saint-Paul Queite attitute séoptera essuîte 3e! 1! de
Casques ramars asque la plusieurs orgamisstions| ne terre du rang de la rivière, àfpendant que sua asmocié le devenait | Lary Wbéral en face du gouvernement
avaient éte creées par ks mètres. mais sucune ne s'était appli-l@eux miles guviron su mordest duipour la vision de Saint-François | progressiste” Son opposition nette ;
quée à unc tache aussi imposante ct aus sérieuse que celle | "ge La ‘muises école se trou} Xavier. fl proposa Ladresse en ré-| 4 franche pendant la dernière cam-
comptait lappli-ation du néuveau programe ran ait abors comme aujourd'hui sur le! ponse au discours du trône de la pre- pagne étectorale « surtout profité aux
? D a à en il Die [min de cœtte ferme L'etant Gut|mière législature de la province en | conservateurs Les électeurs
ua : | * | donc avoir toute facilité, pendant que} 1871 Ce qu'il ne manque pas de) étachait du parti progressiste, il ne
On à évidement prrfectionné lorganisation de FA C_ F. A_|ses parents ouvraient se coeur auxifaire dans sa langue maternelle . les gérdait pas pour lui. mais les
On a déterminé un mouvement de cuoperation, sur ke lerrain arrange" mire nn ne ni à
scolasre. de foules ks societ F - _ | quaient ces principes rem lait y aller ée la plume et de la pa-|appuyer lopposition officielle M
D ._ ee es den et |umute m vie. de développer. dès Tage | roke Pendant qu'il collaborait au. Robson jouait ainsi le jeu de M Tay- * à
mdividwenes. on a suscité La création de cercles paroiisux {D jus tendre. des talents dent le cl] -ggétis journal fondé par M Royal | lor. pe 4
ons réveillé chez les commissaires d'écoles le sens de La respon- Tara dou ñ payait de sa personne dans les as- | On dirait, e3 somme, que la pro- ils voyagent dans ‘le
sabilité nationale. on a vu le persoanci enseignant joindre le] 1 e2 fut toutefois autrement car|semhiées poRtiques et cela même =u| vince n'a pas pris au sérieux l'oppo- que do“ de frulre, es mpstel
pouveau mouvement ct on 2 installe un secrétariat genéral quilpour mettre du pain sur le planche” | péril de sa vie. Sa poitrine ouverte | œtiai du parti Ubéral où qu'elle a : @e poi-
. anime et dirig toute lorganrsation De ce poigt de ver. tout|à 1e marmalle gui poiseun dus ce|e poiguerd At ee jee mn C9 né Qué 2e parti Dé Men ur De. moment + 1
: L . : se s - ffoyer: les services de Joseph physi-|Iui-ci Ingram cependant consomma|cume chance de revenir au POUvVOIr, villes,
den vait se faire cn une ammer à été fait et semble avoir) nent constitué comme on peut}son forfait en lnissant Dubac comme |ou qu'elle ne voulait aucun retour oo.
été bien fait « &re. “une büche du pied”. furent ab-| mort sous les pires traitements pouvoir de te parti C'est une | ner
Mais à mesure que s'est perfectionner l'organisation et préciabies dès ses premières années] Sa compétence -cmnme lui valui|fade joliment claire et mette de plus remarqus-
s'est déveluppé.sus fourtivnnreurtt, en à seturcliemut demnélt 2 © M6 à se monde de plus hs jugdes tâches de =rpééanénnt | choix d'en nogregn Chef a pre ARR campagnes canadiennek,
FE Ê Li Se | . =. : plus utile à sœ père dass les travaux | 4 Education et membre du conseil! D'ailleurs la “Manitoba Free ï bordent
sur les obstacles et les difficulties mhérentes à une satuation dif£- . vhage qi
: hr = s À _— Œvers de La ferme Alors que sur 1114 Territoires du Nord-Ouest Ac se demande sérieusement si les grandes routes, sinon l'église pa-
cik et -compliquéc. Une compréhension plus precise dé cetie terre tout se faisait à force de bras, | int en 1873 au juriste Bain pour dé-|1- étaient tien déterminés clocher, un cot-
situation en esi resaltée. Comme Fa dit ke Dr Amyot. on 2}2 faleït bien compter. dans chaque | terminer ce que signifiait le “droit deileurs - . municipale:
constate des causes de faiblesses dans Forganisation On 2/ftBe sur les plus vieux pourvu) commune” des Métis en régiant cette| ment. et se dans la même volonté de conserver principaux édifices qu
constaté qu k programme ne s'appliqueraï pas seul Es apprissent à Ere sufésimmen question il pqsa les principes qui plus |tion vraiment & idée comme les con-|,, j,, pautes valeurs de notre race. x ira
ee pour “wrcher au catéchisme” et |i2.4 amenèrent La solution d'un autre srvateurs Ele laisse même ete! trouvera dans les traditions j a aussi un petit lopin de
On souffre cn Alberta du mal du personnel cuseignan! |pèus tard à temps perdu à écrire et| ,cbième bien important pour l'éé-|dre que de nombreux libéraux ne! on groupe, dans ses souvenirs ré- | terre généralement situé tout près + /
Evidemment l'engin d'assimilation que lon à jeté dans les prai-|'et# leurs comptes Mais là me s|nent français celui des Terres dulcombattaient le cabixæt qu'à leur | _ionaux, un nouvel élément de force à champ des morts, le
ries de l'Ouest en 1390 2 fail son oeuvre. Les mieux diese, eng frere - [oops défendant, sans grandes epé-| 4 à vitantté. partout de ces
des instituteurs canadiens-francais sortes de Fecoke normale ; En 1874 il deverait procureur gé-|"22CeS Pour eux-mêmes et A chacun donc d'utiliser ses riches- bien fermés par
ag se père, D nourrissat le désir tou-| 1 à l'administration Girard et! d'une entente satisfaisante avec lui La grande communauté sévère; une grande
d'Alberta peuvent difécilement proceder avec aisance et avec|jours graméssant de s'instruire avec Mer Mgal du C = du Mert- | Dans tous les cas, la situation de nee catholique n'en saurait que bé- trée surmontée
succés à l'enscignement du français pour lequel ils n'ont reçue ferme espoir que. Dieu sent dl Ce rannée suivante. én député |fni ent très care enpuntRes DUR éficier. EL, avec elle. Je Canada tout le cimetière car
aucune cspece de préparation Cest un sérieux obstacke auf" den à bout de faire nl Suint-Norbert, ü était sommé pré- | Pentien etaciale a ae genes entier. ss
succes de Fœuvre de FA CF. À On sen est rendu compte nn sident de la Chambre. {ele est formée par le parti conser- te de ce cimettère,
É - L travail permet vat-ur Adrenant défaits des 4
Les instituteurs ont denc forme kur propre association Mt de me ne E2 1877 souvrat uw re) PSP er Pre amv Pas d’emballement ape run gro
cours de l'annee ss ont cu leurs reunions leurs congres et ils!ée cette phase imtéressante de sa vie champ d'action En prévision du in adinimistration Les libé- mere sue
ont essayé à trouver eux-memes des directions. des methodes
suivant lesquelles ils pourras ni realiser l'adaptation de leur
formation pédagogique au nouveau programme Fi puis ke
nombre d'instituteurs bilingu-s nc sufft pas au nombre d'écoles
où ils seraient requis On a tourne bes veux vers les autres
provines, vers Quebec. et où espere que échange des certificats
sera ue jour permis ct que kes cadres pourront ainsi se remplir.
Cette cris du perseanei enseignant à fait revefir unc
suggestion tres inferrssantie. Nous scuffrons un pes du mème - ; -
mal dans krs trois provinces des prairis: une école normale|®t sémirens agenouté dans église mation, en dépit du sentiment bostfe | upoté peu de succès aux polis, les
bilingue communc. à Regina par csemple, répoadrait à un
besoin qui nos est commun Il v 2 evidemment de séricux
obstackes à la création d'un aussi: mmportant organisme: actuel-
kincat. du Manitobe. on me voit pas encore Favenement des
modficahons du svsteme dcduxcatron ofBcrike merrssaire à la
JE
nil
fs
de oi talent | ere
Es pme]
is
É
:
| Memitete, sgget qu'en Dune s'était | es rélectiqn de 1955 On
ts cux que premxcue k probleme de notre consrvation|sques an coffège de Montréal , pas homme à ramasser les portefeuil- | Gurant la campagne a
cihnique. En attendant, mas compatriutes de FAlberta ont La Dubuc y tr@la les étapes tougrurs |2es ue Magali ct Delorme aveignt joie cet appel au peuple. libéraux et
x À Passerons-nous aussilà la face du minisire protesta Lo à: ‘avaient
consolation de pouvoir compter ser &e couvent d'Edmenion des >. D : lon june 22 pa
Sœurs de FAssomption de Nicelet Hs tiennent Ex une imstilu-|
tion qui va consderabkment attenuer ebez cux la crise du |&re de «a conte exemplaire. de = être bientôt récompensé par Se DOM] King et M Forke s'entendirent |
a RSR TP none
L
1
Î
a
Hi
valeur distinctive de notre langue.
“Là les professeurs, a-t-il expliqué,
ii
| VTT à 2e Lee Fmpariance de Pmgrcton. L'atittree [Os oi eee mor ES RE Er OT lent pe en PS 6
qui. tout cn se conformant zux décrets de Fadmmmistration So! és du chuix de = es mmtl. © dur se : à ét! 5 re ction du parti
laire. suit dans son cnsigncocet Le programme de français 4) fase commaître le rectitude pr:-| Dubuc fut un politique et noz un pôè- conservateur puisque aucun cab
droit que sou travasl soët appreocsc par l'administration au meme |coce de se jugement et la éroiture
degre que k travai de Fimstituteur de Fecoke vorsine -qui suit
ke programme ‘angl Cest ve question de justwr. c'es
aussi un question d'efficaciic dans lenscigecment
s'est donc appliquee à obteuir de l'autorité publique Fins c tion }:a-à les drruers de sa carrière et s'in-
du français, comme où Fappelk. Et elle la obteune - [etant à subremr à ses dépenses
sl semble que bre énergies doivest udre maintenant à faire | Sages das voi
;
tirien C'est sur le banc. ans lappli- at de M Meighen pe put réussir à
cation de La science du “juste et & se faire é£re dans toute la province
Le voilà étudiant en éruit modèle Tenteraton des efforts de coBci-
[ue vs a
weici le journal qui se prend d'une
pousser plus loin l'esprit de frater-
fameux juge Dubuc ment dens le domaine fédéral? Ces | P”
sd : nité”, s'écrie le confrère qui ne perd
, Cehu qui autrefois avait réellement ji: grande question du
mubal Adrus au barreau en 1563
“À
donecr toute ka masse de nos compatriotes dans le mourcmceunt
ct a réssedre a question du personnel eusignant L'entram.
au cours du rexrat coagres à cie si vivant ct a iclkment pro-
longe les dehats, que bre rapports annoncés sur es cercles paruis-
sisus et kes commissaires d'ecubrs ont dà etre remis en poche
Mais nous avons su par allcurs que toutes ks commissions
scolaires n'avaint pas rompls kes formahtes voulues pour)
obtenir. dans kcur écobe. et ke cours primaire françass ct l'insuec-
tion du francais La commx aillcurs il va falloër. semble-t-il
faire Lui un travail de couvermen où d'cducatiun Chwz brs
mètres. Fi ce pourra étre un probleme plus long et plus dur à
resoudre que k probleme du personnel euscignant Mais nos
compatriotes de l'Alberta sont à ka hautrur de toutes Les taches ;
ont is volumie de reussir. 1s ont Fexpeérience de Ea lutte et
ls puésclcet anc elite inèriligente <i traxcre.
L'impression qu'on rapport: toujours d'üume visite z nos
ns & > = a
vent et savenl voir, — cest que k groupe
ausstit à ouvre ss étude à Mont-
réal arsné de poed ea Cap. pour ls
Éant dans la Providence
Ce-a
plécaëe qui seconde les «Morts de Mgr
Matte dr ka vie. SaRS argeRL mais CO |
Maustoks II St donc partie de cette | découvrir sous quel
neocné creusé fouillé
| E2 laissé nulle piace
Où le main ne passe eù repasse
sur la terre patermil et ouvert de-
pus avec la même persévérance. Lam
travail ne devait-il pas
dent poura se
4
L'hustoëre est comawe des Territof-|de silluzs dans les champs d'ordres | suv
|
cœ qu hi paraissait étre la
dé la justice même.
Juge en chef en 1589 il prenait.
s six ans plus tard, sa retraite après
|treute années de magistrature. Le
14 pain 3912 le roi lui conférait le
(titre de Chevaliér de l'ordre de 5.
Michel et de S Georges Sir Joseph
_|une botte à tous ceux qui se sont
“Juste et vrai” La justice et}
pes, par contre, l'occasion de pousser
l
1h
parier chambre voi- devoir des »
née sine de celle où üls se trou- d'aimer nue
ra pen À PE = vient - deux Le prier de tout leur coeur.
N VS. ‘est le foêt domestique 1. rent L pour devoir des petits
… ttière école de l'humanité. C'est le point cen- homme d'imagination réglée, un homme écouter ce on disait Il d'aimer leurs pe-
Éx dl des tout ce qu'il y « de divin dans volonté ferme et drotte, un homme tel cmtendirent cs de leur obéir.
*-a naturé humaine. Dans la famille com- Dieu l'a fait et que Jésus-Christ l'a régénéré:|Parokes: : devoir des pe-
à . . 4. un homme de foi et de conscience surtout. U ; tn auras sem de s'aimer entre
* "mence la culture du coeur et la formation de . Pa d'écumer le chaudron demain frères. leurs socurs
Tesprit: là s'ébauchent les vertus morales de faut développer et fortifier dans e nature |je bon matin: car je veux cou-|et Lurs petits camarades qui
l'honnéte homme, du citoyen, du patriote. tout ce qu'il y a de bon, en extirper toaf ce |per la gorge à nos deux petits] fréquentent école avec eux
Les mères ont donc une grande responsa- qu'il y a de mauvais. Si nous ne faisons pas |citadins. Le quatrième devoir des pe-
bilité? Oui certes: nous ne devons jamais © ©" rent mourir de peur en enten-| mentir. de dire toujours La vé-
_ perdre cela de vue: nous pouvons nous répéter _... à ge\dnt le maitre de la maison|rité. mème quand on à commis per Le pi
à nous-mêmes: “Cet enfant sera ce que je le ‘enfant es gloire ou La honte parier de La sorte ct ils se di-} une faute ct qu'on craint d'être |la leur à la veille de lan 10
ferai” ‘A l'heure où nous tenons sur nos l'humanité: s'il ajoute au patrimoïîne d'hon-\rent tout bas l'un à l'autre - pani . et La douleur de leur mère. de- Dans enc bataillke-livrec à un
genoux ce petit être charmant, au front duquel neur de la patrie on y retranche, s'il est le res-| -- Mon Dieu! cet homme est Le Seigneur 2 dt: "Faux té |puis ce jour de n'ont Jamais | certain sr g fl ve eue
nom bredens last de jolis Hoes —… taurateur ou le destructeur de la famille, s'il se En prince — moignagr ne Pig menti |fonche mn ns Éeprhie les pig yeux re
: ” $ disant mots. aucunement - coup dc lance cnec-
. bien qu'il n'est pas seulement un objet exquis, sauve ou se perd, ce sera généralement la con-| peent de La fenétre et fonts daivemnt = ke . Ne jouez jamais avec ces per- ee d'enc broveurc
que nous aurons plaisir à aftifer avec grâce. **quence de sa première éducation. sauterent dans La cour pour sr |foujeurs |Sdes allumettes Que d'enfants! remarquable. k fameux com- ,
Regardons dans ses yeux, nous y lirons des Mme C. JODOIN. minèsale É nmrs a msi ghmeri —— 22e 0— Er f on gui te M Longs gr arms pas s'arTe-
. ° PE terreur. trouverent port = à = D = Le 1e) T AT CS
_levoirs plus austères. Il y est écrit que M. : es es Parole) | | fermée. | Légende patriotique per ie feu! mai ss à res env ri .
‘ . L . ue nn = Quel PP SEE a de- _ DEEE ter | RE . rs jte. tant que dura Facthon ct
JERRELLES | te pe pee ue Dur apr Sr sig des ! Dave on pe rame
ae parcepes Jude Fes où voter et omen qu [ie ee ous passe pans Jr: fatigue de ce dur labeur D | Oonsepest argent du Dre | jee Ce quon pèt de ram
On aime Jjes enfants: mais cette| Bientôt sa main faisait un mouve-|va éclater, pour ne pas consoler ce} rent le reste de ka nuit dansis reposait Les anges l'entos- | L - + OS Sd et.
affection pour l'espèce en général de-|ment. son pied repoussait la couver-| petit coeur qui se gonfle. pour e pes | une anxicté impossible à de-|raemt se couvrant de leur ro- t'aidera”? ment cl cousmx pur cn pr-
vient bien autrement douce lorsqu'il |ture. tout son corps se remuait, il se | sécher cette larme qui déborde et valcrire. Aux premières luecursibe. Or Dicu leur dii- | _ > le, Petucr la memes que mr
ne s'agit plus du bébé, mais bien de |frottait un oeil. étendait ses bras. | devenir torrent: du matin. le maître de La mail - Prenez ce qui reste de ka, < proverbe: remonte à Le, avcatcrent dit on ke jeu
son bébé. puis son regard, sous sa paupière, à| L'expression d'un enfant est alors} son entra dans ka cour. ouvnititerre et &e tous ces débris | plus haute antique Les Grecs
peine soulevée. se fixait sur moi si touchante, il y a tan: de douleur
I1 me souriait en tout | dans ce petit visage qui se contracte.
bas, si bas que je s ma respi- | dans cette poitrine chérie qui se sou-
ration pour saisir toutes les nuances | lève’ |
de sa petite musique: Tout cela est bien loin Les an-
— Bonzou. petit pé. nées se sont écoulées sans parvenir
Bonjour, mon petit homme, tu as|à effacer ces souvenirs aimés. et
bien dormi ? maintenant que mon bébé a trente
Nous nous tendions les bras et nous | ans et de grandes moustaches lors-
bras. toires interminables. trefois:
Sa première dent fut un événement Il me racontait ses rêves, en de- “Bonzou, petit pé”
On se mettait au four pour mieux| mandant après chaque phrase sa i G DROZ
voir. et les grands-parents braquaient | “bonne petite panade avec beaucoup (Monsieur, Madame et Bébé)
leur binocle sur ce petit point blanc:|de beurre dedans” Et quand cette — —— 22 D0-2——— |
et moi. le cou tendu. je démontrais.| bonne panade arrivait fumante, que’ Î
|
je prouvais Et du coup|éclat de rire, quelle joie. comme il
à la cave chercher dans le s'élançait vers elle e1 se pendant à
ses rideaux’ Son oeil brillait avec
- Sd
ii
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À
F
L
Mettez en crème trois cuillerées à
Après cette dent, i] ea vint d'au-|de dormir et il me tirait la barbe en | Misée. % de cueillerée de sel et queï-
tres, et. avec elles. les larmes et les|me criant dans l'oreille. Je feignais | Œues &rains de paprika et mélez avec
douleurs. mais eussi. lorsqu'ii fut|une grande frayeur et je jurais de|®0in Ajoutez deux tiers de tasse de
armé de toutes pièces, comme il mor-|me venger. De là combats dans|lait doux en tournant constamment
dait fièrement son morceau de pain, |l'édredon, retranchement
comme il attaquait vigoureusement
sa côtelc‘te, pour faire ‘tomme pa-
pa”! 4 |
“Tomme papa'” Vous souvenez-
vous combien ces deux mots réchauf-
fent le coeur. et que de méfaits ils
font pardonner!
son berceau et j'attendais en le re-| combten de baisers je couvrais ces|nñies. égouttez-les sur un papier et
chers petons quand. le soir. au coin|servez avec une salade de légumes
. je le trouvais|du feu. je faisais chauffer sa longue | Verts
étendu en diagonale perdu dans le | chemise de nuit! .
chaos des draps et des couvertures | On m'avait interdit de le déshabil-| Comment s'assurer de la
les jambes en l'air. les bras croisés ler. sous prétexte que je compliquais pureté du lait Î
au-dessus de sa tête. souvent sa petits | les noeuds au lieu de les défaire.
main potelée serrait encore le joujou Tout cela était charmant. mais | Pour s'assurer de La pureté du lait
qui l'avait endormi la veille. et de sa quad il fallait sévir et arrêter court Des aliments consommés quotidien-
bouche entr'ouverte s'échappait le la gaminerie qui allait trop loin. il nement, le lait est celui qui est le
murmure régulier de sa douce respi- ! baissait lentement les paupières, tan- plus facilement et le plus rapidemen: |
ration La chaleur du dodo avait dis que. ses narines soulevées. ses pe- | falsifé L'adjonction d'une eau dé}
donné à ses joues les tons d'une pé- |tites lèvres tremblantes. il essayait pureté douteuse suffit à faire de cet |
che bie1 müre Sa peau était tiède. | de retemr sous ses grands cils une | aliment complet un liquide nocif Une |
et La transpiration de ia nuit faisait |grosse larme brillante. simple aiguille à tricoter nous aidera
à constate cette adjonction Voëct
. étranger. laver dans de l'alcool une
PATRON DE BRODERIE
puis. l'ayant plongée dans le lait sus-
pect. la retirer rapidement et verti-
calement Aussitôt le liquide de cow-
De la “LIBERTE”
EPS }
- _ —— ler le long de l'aiguille Si n'y lais
s< }= = 1.71 se nulle trace, c'est qu'il contient de
tes: : - 820 }=, | ÿ Mi ( ? || lreau Si au contraire le lait est
Sos e Ve Se Rad? | = | pur il s'écoulera lentement. lmssant
? NC nu" PF N à 2 a Fe gouttelette fixée à la pomte &
Depot it DE D pus
ed \ = } ‘ ie ; ss Le moyen classique de vérifer Ia
dort: > Y mt — | pureté du lait est d'y plonger u1 pèse-
PES D | | lait. tube de verre gradué qu'on trou-
| ve chez tous les quincailllers et qu
révèle quelle proportwe d'eau cen-
Luent le laut
—-É CDe-S———
) #2 | CONSEILS UTILES
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|
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Î À
Pour dégager de ln crème glacée çu
de ba gelée des moules
un linge chaud aufour du
moule et la gelée ou la crème giacée
Less
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Les ustensiles en fer-bilanc se net-
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3 applique à laide dun meorcesu &
Journal
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suclle de he Si elle est ten netle la marmute à
nn RE Ts confitures en cuvre est la meilleure
Nes cllentés VOWSrvet bien prenêre mote qu'un délai de deux ermaines
moins est pécensaire pour la réteplen des palroès dont elies fervnt la es:
masde ’
On ent prié d'adresser toutes les rommanrdes 15 Département des Patrons
él Gr, arente Melermet. Winnipeg ps
pliquer le poli à métal
tent avec de la farine seche. qu'on }:
“ide toutes Pour le netioyer. frocter | 4
d'un peu de jus de citron avant d'ap- | Corn Removes bs deracimcra | grange
|
Cammeux qu nous amuI« ce
re. sous k non de colin mail-
= = cs fallait : l'assistance des
paire een A à x de FOlympe avec ke lard |
de là. car votre dernière [trouve ume valise. il 5 met des | Mititude PE me gr Comment on peut renverser
— enfants pousserent des : celle du travail Ils spoutarnt une carafe pleine sans ren
verser une seule goutte
lrur ébrer la vie. Fert! " ses. les indisposait contre mous Remplissez jusqu'a4 haut
ë ge les denis A jette ke edge Ed qu'iès se montrant rbcils ume carafe d'eau couvrir |
ë a porcs celui-ci leur) gieterre 7" |» Les Finerte” . galet d'une 2 de papecr.
demanda s prenaien! e L : cpu jusqua nous à (ravers Manietr qu'« 2dberx par-
ur SE si | Le Scigneur attendait Alors | suite des sseches 1 montre faitemment à La surface du h-
petits gerçens lui EE og gum Pour — qu'il faut attendre un resultat quide. puis remverser La caraf.
dirent en pleurant 2 chaudes! en gave d'acur. SOC summmediat de secs propres cf- un mouvement met «1 brf.
larmes - : une per Leg ou euros un forts et ac point compiler Sur Surtout renverser la caraic dk
— N'avez-vous pas dit vous- hvre- = rame vendange. BE protection de La Providence. façon a «x qu cie demcur bac n
cette nuit. à votre fem |} d- un veriocake ct que La peser du
bquide se repartis céalkraacnt
..— matin ? E étre nc larme va suivre: de | gssidament. de meriter ss sur tours Les points de locificx
Alors Fr : _—. feuilles d'un laurier. un ER [ces Nc pas trop prolboogr lex-
— Oh" les petits insenses que de soleil Puis sitechent t RÉ ÉETES PET pour Dm pas produarr
vous êtes! Ce n'est tout il siechne desant Dire ct| un degat dont «2 srat groun-
eee in ane ae me eme AMUSONS-NOUS ©
‘ = n'est pas complete. ct pour 2 LL -
voulais parier delg is j] me faut qu'une chose - SNS De
mes deux cochons de lait. queen sourire dc Dia Dicu Le jeu des feurs vineties
— nn codes, parce que enter leurs henri cs tout Q Qwe prut-il:sroir dans
c'est La ville que je les ai eclaire. Le séraphin emu de [y dsenfants cv jeu con- um prunc be quard «bé «ut vid
He Le ou _—. tant de bonte. ouvrit S2 DR ,jcni aussi aux grandks per- ne
: nd ” qu feconde et jetant ke tout D ones - prend k noen dx jar-
Le 1 Où CCE AUX Por Lecrie. voila la France. dinier ct dit sm d-
ou aux murailks On com- Q instants plus tard : : +
prend mal certaines choses: on me ant =
. Qu'y mettraspe”?
un gage et alker faurr ke pot à
e fleurs pendant un tour. C'est-2-
unc tige d'erabke. ct Farchange dire qu'il r-ste debout dans un
__ agit eng à SO coin s deux mains sur k<
cœur. 2 Be hanches. de f des
ton qu'i couvx au bonheur ose
Puss reprenant son vol vers k ————————
Besnea ve à er Les bébés pleurent pour avoir “Castoria”
“Prends ces etoiles dans Fe-
cru de £ks ct poins-ks 2
ton tresor_”
L'Archang. tout puveux s<-:
du mois en ce jour qu t'est encore ‘cris cn jetant ke tout -Vosc1 k
donné. ta semis ce qué peut te prucs- | Camads ptoteg par Mar
rer la paix" mas tout cels est ma | nt EEE
tenant caché à tes yeux Amen vies |
dati des jours malbeureux pour |
(|
Neuvième dimanche apres la
Pentecôte
S Lax XIX 4145
En ce temps-là Jésus étant arrive
Me jouez pas avec le feu
reromt de toutes parts Le ééeruren | grange faire ka dinetie
entièrement. tes et es enfants qu Les deux enfants prirent UMR rx. bes gruïtes de daZLuwm €
sont'éans tué encemte et me muse | netie pot de terre. ke remplireni ss <smants
ront pas en tai puerre sur puerre par-| d'eau et. se glissant Be D des: _
cé que tu n'as pes su conmare lei musfiers, ANTITETCEÉ a a son ar un des
temps où [heu l'a visitée Es © |L: gang !
suite entré dans le Temgle se mt) ous ramzss2a quelques co
à chamer les ventes et les ame | aus et des branches scches |
teurs en leur sant Il est écrxz Mal,s Gt ug petit tas de boss qu'il
maison ent La mamsen de prère «}:]huma ‘
VOUS 2 Avez fa 10e CaTETzEe de va UM Omuzxit ones dans <a porhr |
leurs EX d'ensegaas jus Les purs qu" qu” < illumettes qu'il 2vant
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Calendrier de la semaine !:ur du ice sautan at ca frap- EE |
L ‘ |pant des mass :
Jeu € acêt < Dem H Puss 1 coupercnt brur pass | Départs $ etre
Vendredi 5 - Xecre Dame des Nes em petites tranches ci smircmi ;
bes tramchbrs dans ke pot
Same 6 -_ Transigura "0e & No Jeanne. va chercher dans |
tre-Sexgneur Jésus-Christ k jardre upe caruîte où uB Ra- |
Dumanche 7 Neuswme agrés m|vet pradunt que je ramasser ai
. le CANADA et FEUROPE
MONTREAL — QUEBÉC
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CHERBOURG SOUTAMPTON AnNVERS
| 4 Coprs es! HAMBOURG, BELFAST. GLASGOW. LIVERPOOL
Lan S Cyraque et ses œm- | beancbes . ! ,
FA -Cs Et ks &ux *« anis cou- _ C - - …
Mar& 9 S Jeas-Baptor Marie fratemi cn risnt Jeanne zu jar- 1927 pe d Hiver 1928
Viansey din Lours ézns l'aller Aster meme ze are
Les Asties Average ds Sur et l'Afrque
Bis revemaicmt avec bcurs pru- d
Ivasswes de bcgums ct é ca Tauue mé ue <amreTz:2 inces de téger RER
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Les cours mous soet diffciks fumer suctr d'une axubc de
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extirper. mars Hollvaezsss!pallke place 2e tusn … WC. CASEY . L
sans doakur. [|
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PE de Ms Dvuiss Le 22 juillét — Marte-Mathide-
sombre) ous apprenons peine la dou-| Virginie Proulx, enfant de
d'autres vence d'ailleurs Deux sâres. | ble mort trâgique de deux anciens pa-| Prouix et d'Alice Duchurme. Parrain,
| ses furent lies, en français par le|roissiens, Stephen D'OR run
chef de police Jourdain, en anglais] "29. €t
: par le conseiller Claude Carruthers. | #8ée de 18 ans, qui se SE Sn EEE
‘ ‘int ensuite ls présentation de riches] dimanche 17 juillet, dans le lac Mi AUBIGNY
._gertes de fleurs par deux fillettes | “h'£2s. Siephen Watson était l'époux x eus "M :
\ Aline Lavallée et Elisabeth Jourdain, | Evelyÿh Owens, ancienne vus un sujet de
;.… suivie de divers présents dont une|es Enfants de Marie de Chez M. McDonald, la mêre de Mme|Pour lopéreite ef opéra
ee 7 À dis roisse. Elle nous avait McDonald, ainsi que MM. Mesner,| M. René Galiocher sune
, M Jos. Lavallée remercia l'assis-| filet 1926, quelques jours père et fils, de Bruxelles et Somerset. | faite, un jeu intelligent et bien nuan- oem Or ‘ rnaee Fr.
| ltandé pour ses marques d'estime et| mariage. pour aller résider M et Mme N, Cadorette, de Somer-| cé. L'accompagnemékt au piano, par
d'amitié M. S.-A. Nauit, président | £° 26 travaillait son mari. set, chez leur beau-frère, M. T. Mar-| Mlle Cécile Gosselin, était impecca- sas", !
! général de l'Union Nationale Métisse, | Nos respectueuses sympathies aux | coux. ble. Dans là soirée, une séance artieui- Franc français _‘_ 395 193
dit aussi quelques mots famiiles éprouvées. Chez MM Arthur et Prosper) Bref, _cet séance = maintes ble icale fut donnée par des | Belga belge _- _ M01 149
: Heureux de trouver une si belle oc- - Pélerinage L'Heureux, leurs parents de Wiani-| tradition et lx réputation méritée par teurs, acteurs, chantres et musi-! Franc suisse __ 1940 193
casion d'exprimer leur reconnaissance | Dimanche prochain. 7 août. les pa- | peg. la troupe d'amateurs de Sainte-Rose ciens, au profit d'un fonds pour ache- | lire italienne _.._ 548 193
aux jubilairer pour le dévosement | roissiens de Saint-Pierre feront leur Malades , du Lac et elle constitue une promesse ter un orgue à tuyaux pour notre | Couronne suédoise _ 2698 268
qu'ifs ont toujoufs montré dans tou- | pèlerinage à Sainte-Anne des Chénes|] Mme Robert, de La Broquerie, en|POur un avenir digne du passé. égtise. Cour. norvégienne 26.01 268
’ tes les organisations, parents et amis sous la conduite de M. l'abbé Sabou-!|rtpos chez sa mère Mme Z Clément, L F. _ | ._ | Couronne ‘2693 28
se laissérent . aller au souvenir et. |rin. leur curé Ils arriveront ici 4! prend beaucoup de mieux : ee a ns ns
» Jon refit la noce de 25 ans passés. |10 h du matin La grand'messe du] M. Gus. Bouchard, du village, a dû} VU" Pionnier de Sainte-Rose. Maxi | 1033 402
joindre nos félicitations et nos sou-, l'arrivée et le sermon se donnera dans lj'hôpital la semaine dernière. Il nous pol n . C É sed l
, tr midt ! : jné à Saït-Boniface en 1849. et vint
baits à ceux qu'ont entendus à cette | l'après-midi. Laphibannmecans amp nec dans ce district en 1891, résidant
sotrée M. et Mme Lavallée. Puis | aug | Echos du voyage de Liaison française | ne à 10 milles au nord du vil.
sent-ils encore longtemps garder l'es-. Mire Joseph Girard et son fils Al-| M J-FE Laforce, agent de colon | 1 Lens _ roues |
time de tous ceux qui les conzais-|bert sont arrivés le 23 juillet d'un|sation du Canadien National, aous | Ÿ mit se . Adi
sent. | voyage dans l'Est et aux Etats-Unis | écrit ceci: le 2 .. 1 Léni : Rosil
— 2" 2D0-0 — | Ils étaient partis au commencement | Æ |
| ‘ 2 ‘Le voyage de Liaison terminé, je! 43 épouse d'Ephrem Ladé te. et
SAINT-NORBERT [de jun Ds sont enchantée de leg] ouais soir quelques jours à fnoil jpeenh Ses funérailles eurent lieu
| u * 0 i
| voyage et sont beureux d'en faire. our voir à mes petites affaires et! Hercredi et furent suivi pe
dnilaluihe aller voir les personnes dont vous| rang nombre de parents ct amis de
Baptèmes m'avez donné.les adresses, mais il :
M. et Mme Alexandre Pohémier
ont le bonheur de faire part à leur:
. . la famille.
parents et de la ce d'w | Le 2 juillet Marice-Noëlla-Cécile, | m'a fallu partir de suite pour le Ver-| Se: + ! : De choix . s675--$7.00
amis Daissan | . ps Î 1 - : L
fils -— treizième enfant vivant — enfant d'Elzéar Floia et de Victorine | mont où nos Canadiens, qui on) uæf j. ; à L’ tion du Assez bonnes $5.25-
baptisé sous les noms de Joseph-Paul- Kérouac. Parrain, Ferdinand Fiola.|acheté des terres à quatre et cinq fois | yjent de disparaître se sg personne Haffalo Erié L Vaches de boucherie—
frenée. Parrain et marraine: M. et | Marraine, Noélie Brisson. leur valeur, faillissent les uns après | je Mme veuve Marie Cogeacs, déce- | De choix se _$5.00-—$5.25
Mme Emile Delisie. Le 3 juillet __ Joseph-Léo-Lucien | les autres, perda:t les milliers de do!-| jé. mercredi dernier, après une lon-| Ottawa _ Li trotion Étacion | P°22 = 54.00 —34.7%
, ._.. | Dubois, enfant d'Adonai Dubois et|lars qu'ils avaient apportés du Qué- | gue et douloureuse maindie. Née Ma- | êu pont w- Ordinaires 5325-$375
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+ dangereusement malade Espérons | Manaigre: marraine, Anne-Marie Ma-| ‘Ce qu'il y a de plus navrant, c'est | France, le 16 novembre 1844. elle | 100 s À. ix entre le C 1 Tanreaus—
qu'il se rétablira bientôt. | naigre. que ces mêmes compatriotes, avec la | épousa Victor Cognacq. qéi mouru: et les Etats-Unis, lieu le 7 août. | De choix - 5375-$400
. n A CA -
Mer Cloutier: ainsi que sa nièce,| L€ 8 juillet - Joséphine-Margue-| moitié de ce qu'ils ont perdu en espè- | en 1884. Depuis ce tedips-là, elle ha-| Ceux qui y prendront part sont le[Ordinaires ____$3.25-—$8.50
Mile Albertine Roy. sont de retour | rite-Agathe Ploufle, ehfant d'Isaie|ces sonnantes au Vermont, auraien! | bitait avec son gendre et sa fille, M prince de Galles, les premiers minis-
de leur voyage dans la province de | Plouffe et de Flavie McDougall Par-|pu s'emparer de tout un domaine dans |et Mme Andïé Cognacq. Ils vinrent|tres Baldwin et King. ainsi que le se-| BC15 5375-5150
Québe. | rain, Joseph McDougall: marraine, |l'Ouest et y faire oeuvre patriotique | ensemble au en 1907, et s'éta-| crétaire des Etats-Unis, M. Kellogg. Moyens. S3.25-$3.50
eee . | Joséphine Ploufre. et nationale. Maintenant, ils ne peu- | blireht à Wauchope. Saskatchewan | et le vice-président Dawes. Ce der- Communes -$2.75—$3.00
Mme Henri Boux est partie pour| Le 13 juillet Joseph-Anaclet: | Vent rien faire que de travailler à la | puis vinrent dans ce district en 1914. : Bouvillons à encraisser— ,
un voyage de quelques semaines à! Edouard (’hampagne, enfant d'Aimé journée dans les usines ou dans les! quand ils s'établirent’ sur une terre 2 De choix : 35.00 -_$5.75
Chicago. Elle accompagne son mari! Champagne et de Marie Goyet. Par-| Villes. ‘ ne: | non loin du lac Déuphin Depuis! Ruigé par l'asthme — La for-|Bons : 53.75-.-84.75
qui doit y séjourniér tuelque temps. ! rain, Moïse Champagne: marraine | ‘Hier je rencontrais une de ces fa- | 1921, toute 14 famille était au village! ce du corps el ‘la vigueur de] Taures à eagraisser— n
Mile Yvonne Cnpesu institutrice | Florilda Dubois. milles (H. L) qui abandonne forcé- | même. où M. Cog:acq s'est fait une| l'esprit sont inévitablement at-|De chotx - 34.90 —35.00 -
" Le 15 juillet - Joseph-Roland| ment une terre payée $38.000, aya it | réputation de jardiniet-fleuriste et po- | {aquées par la visite de l’asth-|Bonnés #6.50—$3.75 | “Red Top” No Z _
au collège, est partie en voyage de | | versé 523.000, mais ne pouvant arri-; _ EE q s pa L LS rs
repos à Régina | Avanthay, enfant d'Etienne Avan-| 200, po | tager: son jardin ayant souvent recu! me. Qui peut vivre sous le .
1... thay et de Déliz Bérard. Parrain, Jo-| “er à rencontrer les $15,000 qui res- | la visite d'importants persünnages qui| coup des altaques répétées el : D dns Te
Mile Eugénie de Moissac vient de seph Dufort. marraine. Virginie Bé- tent dûes. Pour moi, cette ferme vau* | en furent émerveillés garder son corps et son esprit _ K Cours au grain fourni par
subir une opératie pour l'appendi- | rard RAR RUE RE Rte: . | La défunte fut toujours connw|en pleine activité? Le reméde 4 ee
cite. Le cas paraït des micux réussi Le 15 juillet Joseph-Pierre-Ber- | ” Quel crime pour notre nationalité | pour son extraordinaire énergie au r l'asthme du Dr J.-D. Kel- La P , tée
| de ne pas être mieux organisée!” | travail: depuis 1923. #1 maladie l'a- dissipe le Jai > /
! : { oO Issi ec malaise en en- :
- = — - ” — | De M. Firmin Létourneau., rédac- } vait rendue impotente : elle était ali- Len la ES ll soulage. Il Prix déchargé à Fort William ou Port Arthur
[teur au “Bulletin des Agriculteurs”. | tée depuis quatre 228. mais elle subit | restaure le malade à sa forget :
[3 Notrc-Dame Est, Montréai: | cette longue et douloureuse épreuve carporelle normale ct à sa üié- pour la semaine finissant le ler août 1927
| Merci de ce que vous avez fait avec un courage et une gaieté d'es- | {ude d'esprit. UN RC AE Men Les v Sa : L
pour M. Barré et le “Bulletin” Avec Snarci ÆICIT- au enr 1. mes d Lundi
a 1 Énicts des centaines d'autres qui conzaissent | = > — — ———— —_—_—+ — = GRAINS 26 juil. 27 juil. 28 juil. 29 juil. 30 juil. 1 ajut
». Voyez à ce que les fonctions oi à les condi pr , : 2 se SR NU A E
la f f apte x Blé No 1 Nord 163% 1.64} 1.62, 1.59, 1.55) fermè
essentielles de emme se fassent |nôtres dans l'Ouest, j'ai confiance en € : 2 X s ! pra | 1 61} + s9! 1. 152 =
e : : | iv. / Nor: - ; s ‘ -
d'une manière régulière. Cecon- | leur survivance finale Dans 50 ans. | de | 3 Nord 15 1 S6 1542 1,511 143 «
il le les Canadiens français mèneront chez # Notre fameuse Dre prareques no_#, comprenant une machine À - 393 s ,
se1l est non seulement pour vous, a! de 23 pouces ef un engin de 13 forces, coûte _ A scene
| vous, et ce n'est peut-être qu'alors
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d | : 63; 66% 65; -61 s
| sur- ’ouranoi loue Cu e : .
vos fillettes et pour toutes celles a ee sé à battre vrdimaire 24 por © 7———
. : . | VS Çaise ° e fe ne e em st e + 3 CW . 92: 9 3 o 1 : “
sur qui vous avez autorité. Trai Les deux lettres précitées contras | par les mauvaises herbes” | OrLE : ae . rt 851 . .
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ver la journée, une soirée artistique JLes plus hauts Fin { NM 1.947 1.94} 1.945 1.931 1.93
A : , et musicale avait été organisée au a ———— 3 —
sont pour toutes les femmes un secours précieux qu'elles ne spl , ss | r=
:_ devraien® pas se refuser dans les cas de PRE pee On Ven Per 59 pce prix pour votre | LS
| pa contient la salle de l'école, plus de la ; | ; .
ds Anémie, Chlorose Troubles d'estomac - | moitié. avâient été réservées: et à CREME BK Juillet. au 1.611 1.624 1.59; du fermè
Dépression Douleurs internes l'heure du concert tous les sièges Octobre 1.462 106 1.4 1 = 1 1-43 :
œ M 1 . T bi nerveux étdient occupés. £ 5 | Décembre 1.43 1.42 1.414 #? 1.40 :
ren nage . : Une ouverture de Schubert, exécu- vous seront donnés si vous vous adressez à ———— —— ——— —— ———
Dérangements Migraine die par ME le De IL Cu qu vie. votre succursake locale. Le court trajet |Avoine Juiliet GE 691 681 69} “87 .
irrégularités Troubles du retour d'âge |,,, jme Gosse, ses deux jeunes épargne la perte dans le grade de la crème Octobre 54; 54; 54 S3; 53 x
Granbv, 7 février 1926. |fles. Cécile et Lucienne. et Mile Eu- H F de la bonne crème signifie du bon argent. Décembre ! 515. -Sti- H soi . — *
A ju eZ à : n 5 —— — SNS CRE VE
‘:Ma jeune fille avant eu un jour l'imprudence, jour faire la [génie Hameli: au piano, a été écou- -xpédiez à Orge Juillet 92! 92? 90! 85! 88} ”
: ; 2 1 ; 1 : t t . ûüté > si | Gad : , :
cueillette des fruits, de trave rer des champs humides et de jrasser D et très goûtée de Octobre 74! 75! 74} -73 72 .
ensuite plusieurs heures les pieds mouillés, m'étâit revenue fatiguce TA Sr code Le Décembre 70i- 71; 70! - 69! 68! _
: : ta; . e e
et paraissait souffrante. ends - D ae — —
| | , par nos j-unes acteurs, Eug : _ ä
‘En effet, clle n'avait pas tardlé à £<e déclarer bien malade. ne Adam. Gilbert Sa ste. René Del- Lin Juillet L ed 1 ei 1 94! Li 931 1
n . . _— . : « æ æ .
‘ ‘Je lui donnai des boissons chauiles et je lui fis des frictions |veaux et Adrien Hamelin a égayé Aminitgtn. Meet ile, Drondries. Brune, Duiyre, Cocipée. Cards. arts . ir) : . . . : , : pr
qui l'ont soulagée pour ce moment. Mais ensuite les douleurs de |tout le monde Mais, soit dit sans di svermer. aires. mosrebeet, Lnngraburg. Lenigns. Lispéasestes. ‘ L Rs L D
j : Maple rec Metiort. [2 … Mocmemie, Messe . Verth — -
| reins et les maux de tête se continuant, je me procurai des Pilules |minuer le mérite de nos comédiens. Outlook. Oubow. Preccesille. Radrille, Hégiss. Saskatoon. shsumss Seirke Juillet Î 99: 98 9 o1: _92 .
, : 4. En ee le clou de la soirée a été l'opérette Shellbrook. “wift Current. Tantallon, Tisdale, Laity. Wadens, Watson. : : oz é . ; M
Rouges qu'elle a prises régulièrement durant plusieurs semaines. {” or ro fois | Wanets, Weybure, Wilkie, Winnipeg. Wolsecley, derkton. Octobgs .93i 95} .%M > 91 00
‘Ne faible et Chétivequ'ellé avait toujuurs été, ses forces se sont capes posé ah Décembre 96! 05; 944 91 .92i "
sacre °4 DR pri qu'une opérette était jouée sur sotre | = " = = '
augmentées, s6s joues se sont arrondies et colorées et sa santé s’est petit théâtre local qui a vu tant de | + ——_—_— —
parfaitement rétablie. comédies et de drames. (Cette i1no- . I
‘Plusieurs années se sont écoulées depuis, mais elle se porte vetion s eu un vif succès. il aymèle Malden Elevato Company td. 89 987 Téléphones 88 119
bien encore. Elle sait qu'elle doit sa santé aux Pilules Rouges et see pre ag étrange. à ai COURTIERS EX GRAIN ET ACHETEURS SUR VOIE | . |
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!
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tiques voraces
la transfusion. Bon gré, mal
gré, il dut s'y prêter, mais les résul-
t# furent des boursouflures, qui
a'eurent d'attirant que la variété.
Cependant le bon .docteur, un peu
décout — est-ce que les premières
impressions né Sont pas parfois défa-
Vorables ?. -— sentit, après Ja transfu-
#ion, des forces cachées, qui lui pér-
firent de faire, à l'école, en une jour-
née, le travail d'une semaine, et avec
quelle délicatesse, même pour le der-
nier d'entre les petits sauvages! Et
le travail fut fait avec pérfection, et
avec du meilleur matériel que celui
qui était d'abord demandé. ;
Ausäi est-ce avec connaissance de
cause que je me permets de .recom-
mander, de tout coeur, aux malheu-
reux que les dents agacent, d'aller
voir celui qui, pendant une semaine,
a bienveillamment voulu être un den-
tiste missionnaire, ct qui, maintenant,
continue À résider à 356, ruc Muin,
Winnipeg.
RS
LORETTE
Naissances
Le 10 juillet, Emile Poirier présen-
tait. au baptême un fils qui reçut les
noms de Joseph-Onésime-Michel. Les
parrain et martaine furent Onésime
et Mme Manègre, soeur de l'heureuse
mère. ‘
- Jumelles
Première naissance italienne à Lo-
rétté. Ca commence bien: deux ju-
melles viennent égayer le foyer de
Pietro Lupani et Angela Marchesi.
Les enfants, nées le 19 juillet, bapti-
sées le 24, ont reçu l’une lés noms de
Lydia-Maria-Angela, d'après sa mar-
raine Marie-Ange Roy: et l'autre
Anna-Maria-Yvonna, aussi d'après sa
marraine, Yvonne Roy.
Décès
Joseph Leblanc, frère de Mme Ray-
mond Janson, où il demeurait, a été
trouvé mort dans son lit le 15 juillet.
Etant allé se, reposer dans l'anrès-
midi, on le trouva mort, trois heures
plus tard. Ses membres déjà raidis
indiquaien$ qu'il dut mourir peu de
temps après s'être couché. M. Le-
blanc, âgé de 71 ans, était malade
depuis plusieurs années.
A la famille Janpson nous présen-
tuns nos plus sincères condoléances.
Va-et-vient
M. le curé avec son frère, le notaire
Jos. Saint-Amant, de la province de
Québec, sbnt allés à Woodridge di-
mänche soir, revenant lundi dans
Ils rapportent que le
chemin, en général, est très beau, sur-
tout entre d et Woodridge.
M. Ermilien Lévêque, de Saint-Bo-
nifñce, étudiant au Grand Séminaire
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se lue par M. Amédée Bpaudin. Une
jolie bourse remplie d' ouvra-
ge délicat de Mme John , fut
donnés par Mmes A. Gauvin, W. Cer-
rière et G.-L. Marsolais, viñgt-einq
belles roses données par Mme Moise
Ménard, aussi vingt-cinq par Mme
.|Sandy McDonald, emblêmes dy 25me
anniversaire; tout cela fut présenté
par deux fillettes, Ida et Yyonne
Beaudin, et un petit garçon, Armand
Picärd, M. Honoré Rivard a offert
un chèque de $50.
Mmes Dr Marsolais, J. Granger,
AIf. Beaudin, Amédée Beaudin et Mlle
Eva Potvin rivalisèrent de zèle dans
la distribution d'un goûter savoureux.
pendant que chants et musique char-
maient l'auditoire. A tour, de rôle
chantèrent Mme A. Beaudin avec sea
enfants, Mlle Potvin, Mle Pinvidic
et M. Willie McDonald. M. Jos. Car-
rière, violoniste, fut accompagné par
Mme Beaudin; de jolis morceaux au
piano furent donnés par Mile McMil-
lan. M. le curé chanta aussi deux
jolies chansons. ;
M. et Mme Moïse Ménard, ainsi que
Mme Ed. Payment, d'Elie, nous ont
fait le plaisir de leur présence. En-
fin, ce fut une soirée exquise qui res-
tera dans l'histoire de notre paroisse.
Le lendemain, le Dr G.-L. Marso-
Jais alla conduire M. le curé à Win-
nipeg eñ auto, et il prit un train par-
tant pour Montréal le même soir.
Voici l'adresse qui a été lue à M.
le curé:
A notre bon et dévoué curé:
C'est avec une joie bien vive qua
nous sommes réunis ici ce soir à l'oc-
casion du 25me anniversaire de pré-
trise de notre bien-aimé curé.
N'ayant eu que très peu de temps
pour préparer cette fête, nous n'avons
pu faire çe que nous aurions voulu
Mais, cher Père, ne regardez que l'in-
tention dans cet imprumnotu Ce que
nous voulons par-dessus tout, c'est
que vous saçhiez nos sentiments sin-
cères de reconnaissance filiale, senti-
ments si profonds que nous ne trou-
vons pas de mots pour les exprimer.
Veuillez croire, Révérend Père, que
nos souhaits vous accompagneront au
long du voyage que vous entreprenez
Cans l'intérèt de votre paroisse.
Les paroissiens de St-Eustache.
-_*
Le 19 juillet, le mariage de M. Al-
fred Hamelin et de Mlle Cécilia Beau-
dry a été béni par M. le curé. Un
grand nombre d'amis étéient accou-
rus de partout pour être témoins de
ce joli mériage. La noce se fit chez
M. Emile Beaudry, père de la mariée,
et chez le frère du mhArié, M. Alex.
Hamelin, marchand À Pigeon Lake.
De là, les mariés sont partis en voya-
ge. Dès leur retour, ils iront habiter
leur demeure au village. M. Hame-
lin est un de nos marchands.
L 1 - L 1
Mlle Rosalie Lussier est revenue
d'un voyage à Selkirk, où elle était
allée prendre ‘un repos chez sa soeur,
Mme Poirier. Mlle Lussier souffre
d'anémie, mais nous espérons qu'avec
le grand air les forces reviendront et
que nous l'entendrons encore long-
temps à l'orgue de l'église.
L] L] L]
M. $t Mme William Cossette et M
et Mme Ed. Cossette étaient chez M
H Rivard dimanche, étant venus en
auto d'Inwood.
Le L
.
. M et Mme F. fourneal oni quit-
té Willow Bunch, 3 Pour revenir
s'installer définitivement dans leur
vieille paroisse. Ils se bâtissent, sur
la rue de la Coulée du Moulin, une
résidence privée et un magasin, épi-
cerise et ferblanterie. M. Létourneau
a téfu mapasin toute £a vie, et à 76
pns, il se trouve encore assez jeune
pour contiguér, M et Mmé Létour-
Hi
nedu pe comptent fci que des -amis
qui sont beureux de les revoir et sur | peut placer su confiance,
Lili
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Êz
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Magasin
M. Aimé Hamel, fils d'Alfred, vient
d'ouvrir une épicerie en face de l'égli-
se. C’est une construction nouvelle
qui augmente d'autant l'importance
de notçe village. Esfférons que cé
nouveau magasin ne nuira aucune-
ment aux deux autres, ét que tous
trois feront de bonnes affaires. Bon
succès à notre jeune ami Aimé.
SAINT-BONIFACE
Violent inçendie à Saint-
Boniface
Samedi dernier, les cougs de la Cie
de goudron Barrett ont été visitées
par un incendie très violent qui aurait
pu avoir des couséquenrces très désas-
treuses, si ce n'eût été ‘1u dévouement
et de l'habilété ,des pompiers de la
ville. Les origines du feu sont in-
connues, mais le commissaire E. Mc-
Grath feru une ehquête sous Feu.
Quoique les pertes ne se soient éle-
vées qu'à $15,000, le spectacle terri-
flants qu'offraient les flammes a fait
croire pour un moment à ceux qui
s'étaient rendus sur les lieux, qu'ils
se trouvaient en préscace d'un grand
âésastre. En effet, lorsque les pom-
piers arrivèrent, des centaihes de ba-
rils de. goudron étaient en feu; les
flammes entouraient presque les im-
menses réservoifs qui contenaient ce
jour-là plus de 250,000 gallons de gou-
dron. On craignait qu'une explosion
terrible ne se produisit, explosion qui
aurait entrainé des pertes de vie très
considérables; mais grâce au sang-
froid et à l'habileté consommée des
pompiérs, le feu fut éteint dans un
peu plus d'une heure.
Le commissaire McGrath a fait des
compliments bien mérités à tous les
pompiers de Saint-Poniface et a dé-
claré entre autres choses 'avoir vu
de sa vie autant de courage déployé
dans un incendie.
Les pertes sont entièrement cou-
vertes par les assurances.
-——— — 242 ———
A l'archevéché
M. Tabbé Alphonse Dufort, ci-de-
vant vicaire à Woddridge, vient d’être
nommé vicaire à Saint-Norbert. M.
l'abbé Armand Moreau, nouveau pré-
tre, le rempla comme vicaire à
Woodridge.
——— 2 4h 0 ———
A la cathédraie
Dimanche soir, après vêpres, a eu
lieu dans le soubassement de la ca-
thédrale une assemblée convoquée
sous les auspices du Cercle local de
l'Association d'Education. L'on a de
nouveau envisagé sous différents an-
gles le problème scolaire qui se pose
actuellement à Saint-Boniface et dont
nous avong parlé dans notre dernier
numéro. Plusieurs suggestions ont
été faites, mais rien de définitif n'a
pu éhcore être adopté Entre temps
il a été décidé d'entrevoir lés autres
intéressés, c'est-à-dire les catholiques
qui ne sont pas de langue française,
appartenant à la paroisse Holy Cross
————————————————————
Les mères sages ct cxpéri-
mentées savent quand leurs en-
fants souffrent des vers et clles
ne perdent pas de temps à ap-
liquer les Poudres à Vers de
iller, un très puissant vermi-
fuge. Il cst souveruin pour
nettoyer le système des vers el
restaurer cet état de sanié sans
lequel il n'y a pour l'enfant ni
confort ni espoir d'une robusté
croissance.
nuteur de vers dans Jequel lon
il
La fête de saint Ignace apporte,
chaque antiée, quelques changements
dans le personnel du Collège, ce qui
excite -— assez naturellement -- lin-
térêt des élèves anciens, mais surtout
actuels. Les voici: 7
P, Gaston Hacauilt, S.J. préfet de
discipline; P. Joseph Béliveau, S.J.
professeur de philosophie; P. Emile
Gervais, S.J., rhétorique; P. Edouard
La Flèche, S.J., belles-lettres; P. Paul
Gauthier, S.J., versification; P. Aimé
Bertrand, S.J., méthode; P. Raymc
Dunn, S.J., syntaxe; P. Napoléon Bel-
court, S.J., élé ts latins.
Le Père Durocher s'en va en Eu-
rope; les PP. G. Longpré, F. Gauvin
et J.-A. Bernier au Collège Sainte-
Marie de Montréal; le P. E. Lacerte,
à Sudbury, tandis que les PP. Pou-
lot et Courteau se dirigent vers le
scolasticat de Montféal pour y faire
leurs études théologiques.
Le P. Leahy nous quitte pour le
collège Loyokt de Montréal et le P.
Smeaton pour le collège Campion, de
Régina.
Le R. P. Donat Gariépy, S.J. pro-
fesseur de philosophie, au collège de
Saint-Honiface depuis quatre ans, a
été nommé récteur dy Collège de
Sudbury en juin dern'er. - Nous som-
mes heureux de lui offrir, avec nds
remerciements pour le bien qu'il a fait
à notre coHège, nos voeux de long €t
d'heureux rectorat.
. +
Dimanche dernier étant la fête de
saint Ignace, la chapelle du collège
a été visitée par un grand nombre de
pieux pèlerins \'enus rendre hommage
au saint fondateur de la célèbre Com-
pagnie et vénérer les reliques du saint
qui y étaient exposées.
2426 —— —
La Crèmerie de Saint-
Boniface
\Ces jours derniers, les journaux
nous annonÇaient que la Crièmerie de
Saint-Boniface a remporté les pre-
miers prix à l'expositjon d'Edmon-
ton pour la confection du beurre.
C'est un honneür qui rejaillit sur la
race canadienne-française tout entiè-
re. Félicitons notre ami Gaudette
d'avoir su monter au premier rang,
et souhaitons-lui de s'y maintenir.
C'est dans son intérêt sans doute,
mais c'est aussi dans l'intérêt de no-
tre race. Plus nous aurons de nos
compatriotes qui sauront se hisser
aux premières places, plus nous se-
rons respectés, plus nous aurons dé
chances de reconquérir nos droits.
Faisons plus, envoyons-lui aotre
crème. Nous devrions avOir à coeur
que la Crèmerie de Saint- ace de-
vieñne une des plus importantes de
l'Ouest. Ce serait une preuve tan-
gible de notre influence au Manitoba.
Nous avons parmi les nôtres, il faut
bien l'avouer, des parasites qui se
nourrissent et s'engraissent outre gne-
sure en exploitant notre patriotisme:
méfions-nous-en; mais ils sont nom-
breux, et je suis fier de le proclamer
à l'honneur de notre race, ceux des
nôtres qui, tout en ne négligeant pas
leurs propres intérêts, ont un idéal
plus élevé qu'un grand ‘‘signe de pias-
tres”, et travaillent à accroître notre
réputation et notre influence nationa-
les: ceux-là, aimons-les, encoura-
geons-les, fournissons-leur les maté-
riaux dont ils ont besoin pour édifier
leur piédestal sur lequel, bien loin
d'y monter seuls, ils seront fiers et
honorés de s'y asseoir avec tous leurs
compatriotes. ù
Fermiers canadiens-français du
Manitoba, envoyez tous votre crème
à la Crèmerie de Saint-Boniface: vous
le devez à l'honneur de votre räce et
à son influence dans la province.
Les malins —— il s'e1 trouve par-
tout — insinweront peut-être que j'ai
été payé par notre ami Gaudette pour
écrire eet article. A ceux-là je dirai
que M. Gaudette, de toute sa vie, ne
m'a jamais que ‘“beurré”, — il y a
déjà bien longtemps, j'étais alors di-
retteur du Petit Séminaire de Saint-
Boniface, — et je n'ai eu qu'à m'en
C'est ün exférini-| félietter.
Chers pabtante” fites dé la
.icuiture mixte, — permettez-moi de
Je 16
f
A. I
Le 26 juillt — Marie-Ma;z2ila-}
Lucille, ñée le 26 juillet, enfant
d'Ephrem Toupin et d'’Antoinette
Joyal. Parrain et marraine: Ovila
Toupin et son épouse, née Yvonne |
Couture. .
Le 27 juillet — Marcel-Maurice-Ur-
gel-Joseph, né le 27 juillet, enfant de
Wilfrid Paquin ct de"Georgianne Sa-
voie. Parrain et marraine: Urgel
Savoie et son épouse, née Laurence-
Joséphine Swaia.
Le juillet — Louis-Francis, né
mbre 1926; enfant de Louis-
François Sainte-Marie et de Cathe-
rine-Anne Cummging. Parrain et mar-
raine: John Doyle et son épouse, née
Mary Doyle.
Le 31 juitlet — Geniève-Lilianne,
née le 30 juillet, enfant de Joseph Du-
fault ct d’Henriette Bruneteau. Par-
rain, Jean Brurfêbeau; marraine, Ge-
niève Bruneteay.
Le 31 juillet —— Paul-Joseph-Aimé-
Amédée, né le 29 juillet, enfant de Jo-
seph Alarie et d'Adeline Laferté.
Parrain, Amédée McDonald; marrai-
ne, Olivine Pelletier.
Le 31 juillet — Joseph-Ernest-
Raymond, né le 23 juillet, enfant de
Vital Sutherland et d'Hélène Mar-
shall. Parrain, Ernest Marshall;
marraine, Rose-Marie Sutherland.
Le 31 juillet -— Joseph-Ovide-Ro-
méo, né le 21 juillet, enfant de Pierre
Beauchemin et d'Emma Dupuis. Par-
rain, Charles Rioux; marraine, Célina
Lachance.
————24D 0 2 ————
Mariage
Le ler août -- Entre Jean-Marie
Tessier, de la Rivière Cypress, fils Ge
feu Louis Tessier et de feu Marie
Laforce, et Mary-lrene Harvey, fille
de Peter Harvey et de Fanny Laon,
d'Eim Creef.
et D 2———
PETITES NOTES
————0— j
Mme William Raymond, accompa-
gnée de ses enfants, est de retour à
Saint-Boniface après un séjour de
plusieurs semaines à Edmonton, pas-
sées chez sa soeur Mme J.-D. Noël.
L} L1 «
Mile Lucie Daignault, caissière au
Magasin Bleu depuis deux ans, a
laissé son emploi pour suivre Je cours
de garde-malade à l'hôpital de Bran-
don. Mlle Daignault est la fille de M.
J.-H. Daignault, de la rue Saint-Jean-
Baptiste, secrétaire de l'Association
d'Education.
… M. Alphonse Samson, de Los An-
geles, autrefois de cette ville, nous
arrivait samedi dernier. Une cor-
diale bienvenue à M. Samson de la
part de tous 8es anciens amis.
UNION CANADIENNE
Au tennis
Nous saluons avec joie plusieurs
figures nouvelles sur le terrain de ten-
nis. Les amateurs parlent d'organi-
ser un tourzaoi parmi les membres.
Les joutes commenceraient vers la
mi-août pour se terminer aux pre-
miers jours de septembre. Entre
temps les joueurs s'entraînent; des
défis terribles sont lancés ot sont re-
levés avec, la méme rapidité. Toute
défaite a son prétexte tout prêt et
chaque victime, au dire du vainqueur,
est due à une plus grande habilité
et une science du jeu plus profonde.
La retraite
Nous en sommes aux choses sérieu-
ses. Cette armée encore nous Aurous
ne nenneelernS
Si les vers ne sont pas expul-
sés du systéme, un enfant ne
peut être en santé, Mother
Graves” Worm. Exterminator
est üne excellente médecine
pour détruire les vers.
A . . si
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nos chers membres. Tous ceux qui,
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nément leurs occupations et préoccu-
Jations habituelles, et sont venus sc |
retremper dans la méditation, se sou-
viennent du bien que la retraite leur
a fait. Le même avaniage est onert
encore cette année. La retraite fer-
mée se fera encore au Juniorat des
Pères Oblats. Nos retraitants se
re
souviennent de l'accueil vraiment pa- |
vernel qu’ils reçurent l'an dernier. La
retraité commencera le vendredi 21
septembre au soir pour se terminer le
lundi 5 septembre au soir, fête du
travail. Qui ne voudrait profiter de
cette belle occasion? ‘Viens refaire
ta flamme aux sources de la foi”, dit
le poète.
Une campagne qui s'annonce
11 ne s'agit pas d'éléctions'! Les di-
recteurs ont décidé de dresser une
liste de tous ceux qui pourraient, et
À leur sens devraient appartenir à no-
tre association et de s'adresser À cux
pour les convaincre qu'ils doivent à
l'heure même eatrer dans nos cadres.
Que personne ne soit surpris s'il est
abordé un beau jour ct que quelqu'un
lui demande: “Pourquoi n'en seriez-
vous pas?" Il Î’aura pas méme l'ex-
cuse des ouvriers oisifs de l'Evangile:
‘“‘Parce que personne ne nous & em-
bauchés”.
La Crèmerie Saint-Boniface
à l'honneur à l'exposi-
tion de Régina
Régina -— Une température idéale
et une foule de visiteurs ont marqué
les premiers jours de l'éxposition.
Parmi les exhibits jugés, nous rele-
vons le nom de la Manitoba Co-opera-
tive Dairies qui a remporté le trophée
Motherwell pour les plus hautsipoints
dans les trois classes de beurre de
crèmerie.
Le grand prix accordé à chaque
province, dont une des conditions est
qu'au moins trois crèmeries prennent
part au concours, à été gagné pour
la province du Manitoba, par la Crè-
merie Saint-Bontface, avec um tota'
de 194.2 points sur 200, >
Reconnues efficaces par des millions ét prescrites
par les médecins pour
Rhume Maux de tête
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Douleurs Névralgie Maux de dents Rhumatisme
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ee
+
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ALAGLACE
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TA LILERILT
J4AANCE
à nm
à ER M 2 D AGREE ape à
RP ne UR #4
PS
Ca veut dire: “Société Protectrice
des Animaux! Ps
Ne —-_DRANNE
, Ah! oui! Comme ma tante!
L'ONCLE
E CES VONAS "" :
Vous n'y êtes pas. Ca n'est pas un
mot. Ce sont des initiales: 8. P. D. A
trigrapher quand même:
—- Eh bien! vous voyez s'il se pré-
dessus pour renuer un agent, et puis ctpite, votre agent! Alors, bonsoir!
qu'il vérbalise, vous pouvez l'attendre | l1 se levuit. La dame le retint:
en faisant du tricot. — Vous ne partirez pas avant que
— Mais oui! &it la dame. . |lagent vienne.
Elle s'était tranquiilement avancée,
et elle caressait Pompon, qui, à tour| Un cri général
de langue, léchait sa mai gantée.| — Le voilà:
Pendant ce de nouveaux ba- Et, en effet, flanqué du petit gar-
dauds s'étaient ts aux premiers.
Cela faisait, rraintenant, un rassem-
blement qui, de loin, se remarquait
et attirait sans cesse d'autres curieux.
Pompon s'était couché, ahüri, le nez
contre sa tasse. La Puce, absolu-
t retourné par cette grave. his-
t , en suivait les péripéties avec
toute l'émotion que vous pouvez sup-
poser. Et quant à Séraphin, il avait
repris, les doigts tremblants, son pia-
notage: mais, au lieu de l'accompa-
gner du boniment habituel, il exha-
lait la colère en mots entrecoupés et
en raïlleries injurieuses à l'égard de
la pauvre dame Æspédéa.… Il es-
sayait, se sentant écouté, de la cou-
vrir de ridicule et de conquérir ainsi
la galerie.
— Oh! là! là! Ces gens de la Pro-
tectrice, ça n'en a que pour les bé-
tes! et Ça laisse crever les enfants et
les hommes! Mais oui, madame! Ah!
j'ai pas besoin, ‘allez, de vous voir la
figure pour étre fixé! Vous devez
avoir un chien! un amour-de-chien.
_ Non, monsieur, j'en ai deux!
_— Ah! ab! deux tout pelits, bien
sûr, deux trognons qu'ils ont toujours
froià ?
Non, monsieur, un petit qui a
toujours chaud ct un grand, un très
grand, qui n'a pas froid, non plus, ni
aux yeux ni aux crocs, et qui vous
avalerait comme une boulette! Et
puis, si ça peut vous faire plaisir, j'ai
aussi un chat.
çon pâtissier tout blanc, apparait
sait, tout noir, un homme de six
pieds, splendide et pacifique. De tou-
te la tête, il dépassait la foule com-
pacte. Il la fendit à plein poitrail
et il savait déjà sans doute aux trois
quarts, par le petit pâtissier, toute
l'histoire, car, aussitôt, ce fut à la
dame qu'il s'adressa:
_—— Ah GÂ! qu'est-ce qu'il y a,
voyons, madame? Et que réclamez-
vous?
l1 avait prononcé ces mots avec
une hauteur sévère et comme s’il in-
terrogeait vraiment une coupable
avant de l'arrêter.
Mais la dame, toujours très calme
et sûre d'elle, la mit au courant:
— Voici Cet bomme a brutalisé
ce chien devant moi, et, comme je
suis de la Société Protectrice, je vous
prie de dresser contre lui procès-ver-
bal et de prendre son nom.
L'agent n'avait pas l'air aussi
chaud que la dame. Il semblait mé-
me assez ennuyé, et Séraphin, com-
me s'il le devinait au ton de l'éntre-
tien, ne bronchait pas. Le dos rond,
tassé sur son pliant, il écoutait, avec
un vague sourire moqueur sous sa
moustache de Chinois.
Oui, bougonna l'agent. Mais,
si vous êtes de la Société, vous devez
avoir une carte? Sr
— La voici! dit la dame.
Et elle la lui tendit.
L'agent fut bien forcé de la pren-
__ Un chat! Ah! malheur! Et un|dre; mais, l'ayant prise, il la lut alors
perroquet, je parie? avec un soin si excessif et une atten-
Non, monsieur, mais des oi-|tion si prolongée, si voisine de la mé-
seaux. flance, que la dame, lui en mettant
Cré non! Et puis, quoi encore ?
Mais c'est pas une famille, chez vous,
c'est une ménagerie! Cent sous que
vous ne vous êtes jamais mariée et
que vous n'avez pas d'enfants?
Vous avez perdu, monsieur, ré-
pliquait la dame, imperturbable et
nette, j'ai eu six enfants et je suis
grand'mère. Vous me devez cent
une autre sous le nez, ajouta:
— Et puis, si ça ne vous suffit
pas, voici mon coupe-file. Et puis,
j'ai encore, dans mon portefeuille, si
vous désirez la voir, une récente let-
tre du préfet de police, que je con-
nais beaucoup. |
En entendant cela, les gens qui sui-
vaient la scène firent un succès à la
La force, le courage,
L'énergie, l'ardeur au travail, le dévouement d'un homme
laborieux et honnête ont toujours fait l'admiration de tout le
monde. Ce qu'il faut condamner c'est l'excès qui débilite et
rend malade. Rien ne peut mieux soutenir les forces de
l'homme qui. travaille que les N
PILULES MORO
comme le prouve la déclaration suivante de M. O. Robillard,
Farnham, P. Q.:
“Depuis que j'ai pris les Pilules
Moro je les conseille aux hommes que
je sais fatigués et affaiblis, convaincu
.que je suis d'u bien qu'ils ea retireront.
Je dois à ce remède d'avoir recouvré
mes forces dépensées à unm-travail ardu
et que les intempéries de chaque saison
rendaient encore plus déprimant. J'y
avais contracté des maux de reins et
des douleurs de rhumatisme que j'a-
vais essayé de traiter de différentes fa-
çons, mais sans bon résultat Une
quinzaine de boîtes de Pilules Moro
m'ont ramené à la santé”.
M. O. Robillard
CONSULTATIONS GRATUITES aux hommes, par lettres ou à
nos bureaux, 1570, rue Saint-Denis. Notre médecin est à votre disposition
tous les jours, de 9 heures du matin à & heures du soir (excepté Les dimanches
et fêtes religieuses). Vous seres satisfaits des conseils qu'il vous donnera
pour rien. Îl vous est impossible de vous soigner à meilleur marché.
1 Th étend partout, ou par la poste, 50 vous la boite.
+
Le
pour ia plupart, n'avaient rien vu,
arrivées à l'instant, se m'rent à crier:
— Oui, oui! nous sommes tous té-
moins! 11 a fallu lui arracher la bête
des bras' Sans madame, il l'assom-
mait!
— lipe m'en faut pas plus, déclara
l'agent, c'est indigne! ne
Et rude, à Séraphin;
— Allons, l'homme! levez-vous! Et
vite, vos papiers?
— Quels papiers? demande l'aveu-
gle. |
— Vos papiers d'identité, tiens!
— Je n'en ai pas.
— Vous n'en avez pas? tonna
l'agent.
— Si, j'en ai, reprit Séraphin, mais
sur moi, À la maison.
_— Et pourquoi pas à Pékin? dit
l'agent, heureux de montrer son es-
prit. Le règlement il est formel.
C'est sur vous et non chez vous que
vous devez toujours renfermer vos
papiers, afin de pouvoir les préseñter
à toute injonction.… Et où est-ce,
chez vous?
— Oh! c'ést loin... très loin... bal-
butia l'aveugle.
— Mais encore, où ça? dans quelle
rue ?
— Ca n'est pas dans une rue, nous
sommes si pauvres! C'est dans un
terrain abandonné et qui n'a pas de
nom que, tous les trois, nous habitons
une baraque en planches.
— Mais de quel côté, sacrebleu?
Dans quel quartier?
— Après les Buttes-Chaumont.
Comme vous le voyez, Séraphin
mentait avec effronterie.
NELL
Pourquoi? C'était très bête.
L'ONCLE
Sans doute. Mais il le faisait pour
plusieurs raisons, dont la principale
était le désir farouche que la police,
autant que possible, ignorât son do-
micile, afin qu'elle n'eût pas la ten-
tation d'y venir fourrer le nez, car il
savait bien qu'en ce cas, elle ne serait
pas longue à découvrir le trafic des
“locatis”, qui n'était pas bien hon-
nête et devait rester secret. C'est
pourquoi, en rusant et en déclarant
en termes vagues une adresse fausse
et Jointaine, il avait espéré que
l'agent, réclamé par son service im-
médiat, serait découragé de poursui-
vre son questionnaire et l'enverrait,
comme on dit, se faire pendre ailleurs.
Mais il se trompait.
— Ah! oui! fit l'homme au képi,
quand Séraphin eut achevé. Eh
bien! tout ça n'est pas clair et de-
mande une enquête. Allons! suivez-
moi au te, où vous vous explique-
rez avec le commissairef
Séraphin se rebiffa.
— Mais, monsieur, Ça n'est pas
possible! Et mon chien? Et man
enfant? Est-ce que je peux les lais-
ser là, tout seuls, exposés ?.…
— Qu'à cela ne tienne, dit la da-
me; moi, je les garderai!
— Mais non, madame,
l'agent, vous êtes trop bonne!
viendront avec lui.
tous les trois!
— Entendu, dit la dame, et je vous
accompagne.
Cette proposition n'avait pas l'air,
au fond, d'enchanter l'agent.
-— Oh! fitl, si c'est pour le chien,
vous n'avez plus besoin, J'ai pris
bonne note et on fera le nécessaire,
je vous le promets.
— J'en suis sûre, à présent, dit la
dame, et je vous en remercie; mais
ce n'est plus pour le chien que je
veux vous suivre au poste.
— Et pourquoi donc ?
— C'est pour l'enfant, le pe‘it gar-
déclara
lis
Je les emmène
{ con, qui me fait de La peiïe avec son
pied au pouce au -
— Ah! il vous intéresse aussi? @t
l'autre, naïf. \
_— Moû Dieu, ouf, dit la dame, on
u'est pas sans défauts. Et puis (dé-
m3
4
rien. -
Le poste n'était pas loin, au mar-
ché Saint-Honoré. On y fut 2n cinq
minutes. Quand ils avaient quitté le
boulevard, nos gens s'étaient vus sui-
vis par quelques-
curieux de les escorter pour voir
“eomment ça finirait”; mais en route,
l'un après l’autre, ils se découragè-
rent, et, à la porte du commissariat,
il n'y ayait plus que le petit pâtissier,
Aui, lui, avait tenu bon jusqu'au bout
et qui, toujours avec sa manne sur
la tête, resta planté là, au milieu du
trottoir, après que le groupe des
“prisonniers” se fut engouffré dans le
poste.
Un petit escalier étroit et assez
raide, et on acgédait, au premier éta-
ge, à une salle qui était comme l'aa-
tichambre du commissariat et le bu-
reau des employés.
plusieurs jeunes messieurs bruns et
vigoureux, vêtus en’ bourgeois, qui
écrivaient ou lisaient le journal en fu-
mant; et puis, un agent qui ne faisait
rien, debout; et puis, pendus à des
chafnpignons de bois, deux pèlerines
noires et deux étuis à revolver, et,
contre le mur, une bicyclette. Ajou-
tez des bancs, des chaises de paille et
plusieurs portes par où, à tout ins-
tant, entraient et sortaient des per-
sonnes dont on n'aurait pas su dire
si c'était du monde honnête ou des
malfaiteurs, parce que, n'ést-ce
trix et 1n maladie est Ev}
volait des dentelles à la Samaritaine!
parler de ceux qui affirmaient:
— Je ne sais pas. Mais Ça n'est
sans
à }
des assistants,
Il y avait là
as ?
dès qu'on se trouve dans un endroit
de police, on ne sait flus, l'imagina-
tion travaille et on perd la boule.
Enfin, ce qu'il y a de sûr, c'est que
Séraphin n'en menait pas large. As-
sis sur un banc, tête basse, il se fai-
sait vieux, et la Puce, à côté de lui,
quoiqu'il n'eût rien à se reprocher,
ne manquait pas, pourtant,
bien inquiet.
Qu'allait-il résulter de tout cela?
Si on l'interrogeait, si on lui deman-
dait où ils demeuraient, lui et l'aveu-
gle que l'on prenait pour son père,
que devrait-il répondre ?
en effet, le fils de Séraphin, et répé-
ter, les mêmes mensonges que lui?
Ou bien avouer au commissaire toute
da
Ah! il en brûlait d'envie.
l'eût fait tout de suite, s’il avait été
certain qu'on le retirât des griffes des
Chatouillard; mais s'il ÿ était lais-
Une fois rentré
vérité?
sé Alors? Après?
là-bas, dans-son enfer, quels mau-
vais traitements n'aurait-if pas à su-
bir en représailles de la part de son
et surtout de sa
Et puis, à supposer, mé-
en mettant tout au mieux,
qu'après s'être jeté aux pieds du com-
missaire et l'avoir supplié de l'arra-
cher,à Séraphif. il fût par bonheur
exaucé…., aussitôt, alprs, à l'affreuse
idée de quitter la chère Gredine et
Pompon…. qui n'avaient, que lui syr
la terre pour les aimer, et de les’ sa-
vofr là-bas, tout seuls, perdus, s0n
coeur se serrait et il se jurait:
— Non! Non!
maitre,
soeur ?.…
me,
et
zone m'a
Quoi qu'il arrive,
j'aime epcore mieux mentir et souf-
frir que de les abandonner!
Teiles étaient les pensées qui le
d'être
Quiil était,
Et il
terrible
guéries en une Semaine
En voici La preuvel
La plupart Ces gens souffrant du
Catarrhe désirent
au pus
vite.
s'en débarrasser
J.-D. Daveson, de
Bridgetown, nous dit comment on
peut arriver à ce but.
ans j'ai souffert du catarrhe nasal.
Mon nez était toujours
tout instant je crachais,
je toussais continuellement.
phärmacie Collins, on me montra un
lahalateur de Catarrhozone — c'est
ce qui me sauva la vie. Catarrho-
barrassé des mauvais ger-
mes et je suis maintenant guéri. Je
comseille à tous ceux qui souffrent
“Pendant vingt
hé et à
'éternuais
A la
catarrhe de se servir de Catar-
"
zone .
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petit format, 50 sous. Chez tous les
marchands.
18
joutier de la, rue de la Paix?
PREMIER
Oui. D — . | dame, qui ées dans nde entiér. |:
DEUXIEME AGENT ciété P Les pilules Dodd ont ramen
ee à = étalage GE st mail- PR oui, di à la pi Aka cobside
SRE à rm Siam R sabie AR age. kt de femines
C'est vrai. Et il rentra dsns son cabinet, où, | | EN RE
DEUXIEME AGENT . | d'aileurs, sonnait le téléphone. .
Figure-toi qu'un petit garçon d'en- | La dame souriait, tranquille, com:-|resû, où le rès AVôir
viron dix ans est entré tout à l'heure | me quelqu'un qui est sûr de son af-| éouté les 6 L'écart /
dans son magasin, et a demandé à | faire. Mais dès que la appris à i conatésait
une mn cer endrtgehrerus assis, la Puce, dont le coeur le “préfet, devint _sur-le-chamip tout -
chettes qui exposée. L'employé, | de le sentir ainsi, tout con! sucre ét tout nilel. ‘Îl l'assûra qu'übe
étonné de voir ce bonhomme tout peut-être seulement M on re RENE
seul lui adresser cette question, s'est | minutes, n'avait plus qu'une idée, plainte et, ‘« , 11 inter-.
aperçu, en le reluquant d’un coup | parier. : L'en_empécherait-on ? rer Rar nf come 11
d'oeil, qu'il ne marquait pas bien, | deux agents causaient saps trop les |ent fait pour un ‘übdämné à mort.
qu'il était salement mis, l'air voyou: | suveiller. 11 se risque. Ah! dame, ça n'était plus 1à cofme
alors, comme, malgré tout, il n'avait | _ Alors, c'est “vous”? lui dit-il. [tout à l'héute, dans la rus, avec le
pas commis un crime en entrant dans |. _- Qui es-tu? dit la Pipe... simple t! A présent, plus moyen
le magasin. - — Eh bien! c'est “moi”! dit la Pu- CNET SRE De
— Tu te trompes, mon petit, qu'il ce, à qui vous avez donné cent sous, çoires, il fallait dire là vérité, L'aveu-
lui a dit. Ca n'est pas ici un endroit | cet hiver, place de la République. Je | gle ne se fit donc bas prier pour don-
ni des choses pour toi. Ces boutons| vous reconnais bien." ‘" ” Ré orient von mie Se 0
de manchettes-là, ça coûte trop cher! | __ fh moi aussi! fit tout à adresse, et ia Garné ch même temps
— Combien? s dit l'enfant. la Pipè. Oh! réponds vite. Où dé. | que le à led écrivait, en
_— Quinze cents francs! a dit l'em- | meures-tu ? prit note, elle parc ani, ce qui remplit la
ployé en riant. — du Prévôt, faubourg Saint- | Puce à la fois d'e et. de”trôu-
— Ca va, je les prends, qu'a dit le | Antoine. * l'oie ch 1 ne MA Pa ous
petit. — Le nom de ton père? toûs ces’ nénits, s' prog
Et, fouilignt dans la poche de si] Séraphin Chatouillard. Et vous, | réjouir ou s'ên altrmer. Et q ‘
culotte déchirée et tachée, il en a tiré, |comment vous appelez-vous? (Il n'o- | ensuite, le commissaire, le EL
à poignées, tout chiffonnés, comme | sait pas le tutoyer.) le blanc des ÿeux, lüi demanda:
si c'était moîns*que son vieux mou-| __ Ca ne te regarde pas. ““N'aie pas peur, mon pétit, et dis-
choir, un billet de mille et cinq cents} __ Mais, pourtant. | moi bien-tout. ÆEst-ce que ton pêre
francs en monnaie. Alors, dame!| — Eh bien! on m'appéile Phil, pour |te. maltraite, aümsl, Comimé
dans le magasin, ça les a renversés... | Philippe. chien ?", la Püce fut ému à eh tombèr
Et tout de suite un tas de questions:| ‘Où demeurez-vous? à la renverse, Il avait envie de crier
-— Comment!=c'est à toi, tout cet| -- Nulle Le
argent? !
vient-i1?
tons, tout de suite!
cents sur la table. On n'a pas voulu
les prendre. Ila crié. Alors, un des
messieurs du rhagasin a dit:
on le prend, ton argent; mais nous
allons aller ensemble au commissa*
riat, et là, quand tu auras dit au com-
missaire qui tu es et que tu lui auras
prouvé que cette somme t'appartient
bien, tu auras les boutons. Pas àvant.
voulu se jeter sur l'employé pour lui
reprendre son argent.
entendu, a été le‘plus fort. Un at-
troupement “l'escandale”…, et puis,
comme c'est toujours par nous que Ça
finit, n'est-ce pes? on est venu me
chercher.
mes venus, le monsieur et son dé-
mon...
|
quer depuis bientôt plus de vingt mi-|Je remarquât.… Hein! j'espère que
nutes… Et puis, voilà Sûrement,|vous êtes contents? 2; 1
c'est un petit voleur, Et toi, qu'est- US ,
ce que c'est ? Oh! où! ‘ e
PREMIER AGENT DRANNE
14
|
f
L3
28
ê
Et, pour montrer qu'il était résolu
à ae plus rien dire, il tire sa pipe
de sa poche et se la planta au Coin
du bec, le fourneau en bas, comme
il l'avait fait place de la République.
- A ce moment, on entendit, tout à
coup, un affreux tapage dans l'esca- -
lier. Des cris, des hurlements; et là | mie
— Un peu.
— Et d'où le tiens-tu? D'où te
I1 répondit d'une voix douce:
— Des pommes! Allons, mes bou-
Et il a jeté en paquet les quinze
— Ah! c'est comme ça! Eh bien! 4
mme, un Colosse, qu
par la tête et les pieds et qui se dé-
Le poste en entier sursauta, toût
Là-dessus, voilà que mon diable a [forte à leurs camarades. -
maire gnparut Au feull de an Puresu
le revolver au poing. Pompon se mil
à aboyer à pleine gueule, malgré ll
dame, essayant de le faire it À line,
la Puce, ivre à la fois de joie
d'épouvante, vit alors, par la porte
restée grande ouvérte, la Pipe, L
profitant du désarroi général,
et plongeait dans l'escalier sans qu'on
L'autre, bien
Tous les trois nous som-
Il# sont là-dedans à s'expli-
Oh! moi! c'est moins curieux! -Mais ce méchañt, homme qui gi-
C'est rapport à un chien soi-disant | gotait? qu'est-ce qu'il avait fait? | rs:
maltraité que j'ai été requis par cette RIQUET. © valent été prononcés avec tant: de
dame-là, tiens, dans le coin près du| Et le commissaire, quand il va qu'une vieille fémme, qui étal
caniche.., une espédéa.…. s'apercevoir que l Pipe s'est sauyé! r'né her
A
Met qui éttendalt Je né
put s'empécher de s'écrier:
— Allons! Il y a encore de braves
DEUXIEME AGENT
Ah! là! Jà!
PREMIER AGENT
Mais elle connait le préfet.
DEUXIEME AGENT
Alors, y .a pas,
PREMIER AGENT
Oui. Faut marcher.
DEUXIEME AGENT
Mais, tiens, j'entends qu'ils Ont fini.
C'est à ton tour.
L'ONCLE .
Aussitô., la porte s'ouvrit, et la
Puce, qui avait écouté toute cette his-
toire en n'ayant que cette crainte:
“Pourvu, mon Dieu! pourvu qu'on
ne me prenne pas, moi aussi, pour un
Quel néz: its
Et la Puce? Et Séraphin? Pom-
pop? Le dame? Après tout ça, ce
qu'ils vont trinquer! he:
L'ONCLE
Demain. Demain. D'ici à emain.
je ne me PE rien. «
Ah! on voudrait vieillir!
SIXIEME SOIREE :
. L'ONCLE ss
on fut revenu du trouble
qu'il avait causé et que le
sâire s'aperçut de la disparition ’äu
gens ù
— Oui, mais ça. n'est pas toujours
ceux qu'on croit!, repartit, d'un ton
glacé, la dame de la Soclété Protec-
trice. : à
— En effet, dit le commissaire à
Séraphin. ‘ Ainsi,
saire..
D'ailleurs, je auls 1à, dit la dame.
7 Oh! et puis, c'est ni, la brouille:
voleur!"”, la Puce vit sortir de chez vertenfent aux ts de l'avoir ajouta in en riant jaune de
le commissaire. : : pis D ve mit à Hréltoutes ses vilaises dents On s'est
; TOUS + d'acRenN ; ‘[pien chamaillé (ous les deux, par-ci,
La Pipe! -— Bäh! avec'la jolie nature qu'il par-là, c'est vrai; mais, quand même,
L'ONCLE , o il sé féra repincer, ef plus [lon a toujours ‘été bons amis. N'est-
Comment! Vous l'avez deviné? tôt qu'on De croit ce ‘pas, vieux frère? TV
NELL | se ! dirent les]! ‘Et, faussement, 11 fiattait de ‘la
Voyons! Sommes-nous bouchés? |agents, tandis qu'au la Puce fimaln le caniche , mdis
RIQUET aitéit : FAURE À tretroussait Son Bez comme pour pro-
C'était couru, mon -oncle! — ON} pourvu que non! FE sie "
L'ONCLE Et puis, toute la comipagüie quil -- Eh bien! id'éÿ às du toupet!
Eh bien! out... son petit inconpu à | nous intéresse entra enfin dàns le bu- 4h suivre)
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de 150 chevaux qui étaient re-
misés dans ces écuries ont pu être
sauvés. Comme on craignait que les
flammes se répandissent aùx bâtisses
avoisinantes, trois alarmes furent
sonnées. C'est certainement dû à ce
renfort extraordinaire si les flammes
ont pu être contrôlées si rapidement.
ls
Programme irradié par le
CNRW
Programme musical organisé par
W. Royal et irradié par le poste de
radio du Chemin de fer National du
Canada, à Winnipeg, à l'occasion du
| passage de nos compatriotes de la
Liaison française: |
Trio instrumental: violon, B. Lo-
ban; violoncelle, M. Marnott, piano,
Mme L. L. Thibault ‘’Hérodiade”,
opéra de Massenet; ‘Romance sans
paroles”, de D. Goens: “Un peu
d'amour”, de L. Sileau: ‘Danse espa-
gnole”, de Moszkowski.
Chansons, par Oscar Noël, accom-
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les aliments doivent être
gardés frais et purs. Il
ne vous en coûtera que
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les jours de même que
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vous avez 10 mois pour
la payer. Il vaut mieux
ne pas courir de risque.
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cers, durtilons, oignons et AE td Ds ne bien M. Pierre La
“Son
' +
D. l'eau savonnée
| le linge ést déjà lavé.
Le 20 juillet dernier, Mme Frédé- disposition ition
rick Lafrenière, née Marie Marchil- dns are, K
| don, à été l'objet d'un témoignage de couche repose sur
toute friction.
) Il s'agissait de rappeler le cinquan-
tième anniversaire de son arrivée à forme de l’essoreuse
Saint-Léon. En effet, en 1877, M à sède @n mécanisme
et Mme Frédérick Lafrenière par- !
laver et essorcuse à
LS comportent des ame
rience-
t«xture est pesanle.
mier ‘‘homestead” de cet endroit. C'est
à cette méme place qu'ils ont élevé
leur famille de treize enfants dont
l'un est mort en bas âge.
Ce fut donc la joie de Mme Lafre-
nière de se voir entourer de sa gilo- =
rieuse couronne de douze enfants vi- 1
vants pour célébrer cet événemen
* LA machine à lgrer Coffield Gyrator lance le linge doucement. mais avec
é, comane le jéngleur lance des boules. Dans l’espace de 10 minutes,
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dans les corridors publics de ia ville de Londres où il y
a des millicrs de passants. L
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une noce d'or de prise de possession — |
d'une terre. |
Pendant cinquante ans, Mme La- Magasin ouvert PR
frenière n'a pas cessé de faire prati- | ésk#màish & FE A ON O æsSh%àSsh |
quer à ses enfants les belles tradi- Pendant les mois de = | C Petfant |
tions canadieanes, en développant ré, } juillet et août, le Li j LIMITED juillet et noût, le
avivant en eux l'amour de la langue | ar rt ns
les samedis
et de la foi. +
Son mari, malheureusement. es: | R—
mort depuis quelques années. Ceux |
CANADA ‘iorcmms |
qui l'ont connu se rappellent qu'il} _ _
était grand chasseur devant le Sei-
gneur. Il fut le premier juge de paix |
le premier à garder le bureau de
poste tenu encore par Mme Lafre-
nière depuis plus de 35 ans
De leurs douze enfants, il y a hui!
filles dont les noms suivent: Adéline,
Victoire, Léonie, Célestine. Agnès,
Marie, Emma, Clémentine, quatr®
garçons: Pierre, Frédérick, Joseph et
Edmond. Ils sont presque tous ma-
riés et font honneur à leur famille.
Bucarest -_ Le roi Ferdinand re-
|
Malgré le fait que Ferdinand étai’
catholique, il était par so1 rang chef
de léglise orthodoxe de Roumanie,
Après les cérémonies à l'église catho-
lique, on lui a fait un service dans
le rite de léglise nationale dé Pou-
manie.
frenière, irgénieur mécanicien, et M
Frédérick Lafrenière. inspecteur en
chef d'immigration à Fort Frances,
Ont.
Les premiers prêtres missionnaire
qui dirent la messe à Saint-Léon fu-
rent le curé Saint-Pierre et le R P.
Gladu, O.MI., tandis que le R P.
Bitche fut le premier prêtre résident. ayant pour fin de dét - La
Nous n'irons pas plus loin dans ces + =
de la Pologne pour crmer une ré-
détails, car on nous apprend que la bii bol _” :
ee
Complot communiste éventé
en Pologne
Varsovie — La police 2 dérouvert
à Varsovie un comité de communistes
ukraïiens en intelligence avec des
communistes du monde entier et
paroisse de Saint-Léon célébrera son
cinquantième anniversaire l'a1 pro-
chain.
Dix-neuf arrestations ont été opé-
rées Au nombre des prévenus, ©
remarque deux commumistes étran-
gers, Adolphe Langner. un jJour1as-
te de Berlin, et Mlle Shrender. de Pra-
gue.
G-R B
a
La fermeture des théâtres le!
dimanche à Montréal
. | Un monastère de contem-
Montréal Les catholiques de | platives au Cap-de la-
Montréal ont inauguré une campagn- | Madeleine
pour obtenir la fermeture des ciné- |
mas le dimanche. On fait circuler |
parmi les rangs des catholiques de”
différentes paroisses des pétitions de-
mandant au premier ministre Tasche-
reau de fermer les salles de vues ani-
mées.
On croit que les protestants de
Montréal suivront aussi ke mouve-
ment entrepris par les catholiques et
qu'ils signeront eux aussi ces requé-
tes.
Les organisateurs comptent obte-
nir 250,000 signatures au bas des re-
quêtes.
se
Le téléphone entre New
York et Stockholm
L'automne dernier, la =ouvelle que
les Carmélites d'abord puis les Ser-
vantes de Jésus-Marie devaient foe-!
der un monastère au Cap-de-la- Made-
leine, à fait son tour de presse Ce}
n'était encore qu'une rumeur. Mais
le viéux proverbe est toujours vrai: 1l}!
L'y à pés de fumée sans feu
été annoncé officiellement que ke Car-
mel de Saint-Bonifate du Manitobs
se transporterait dans uZ avenir a&s-
sez rapproché aux Troés-Fivières et
que, d'autre part. grèce aux luez-
veillantes approbations dés autorités
religieuses en cause. les Soeurs Ser-
vantes de Jésus-Mare de Hull viez-
pr . 2 MONTURES — Choix
Stockholm Des communications dromt. en sepome prochain. — cons:dérable de mon- |
téléphoniques directes entre New- bhr à proximité du Sanctuaire pour tures de lunettes et
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York et Stockholm seront ouvertes y prier et faire pénitence ez faveur de lorgnons.
en automne. de notre Oeuvre Marise à
; : Déjà à ce’te fm elles ont arques N
Le service par fi sera étabh eztre ous ar ons
Stockholm et Londres. et sans äl a|"® “Plemdice terrain sur La poente Ù p
sud foxmée par les deux branches du
ruisseau du Moulmn Gui comtourze Le
parterre de Notre-Dame du Cap La
Mère Servante Générale de concert
avec son économe géérale et la fu-
tube Mère Servante du nouveau mo-
nastère, y surveillent depuss plus d'un
mois la construction d'une chspelle
annexée à la maison quelks om
achetée € aménagée POur recéver
au moins une dizaine de rvehgieuses;
cluitrées
Epusé par ls Lg" 2
MAaiso-mére trésor
commun de la congrégallén L2a:ssamte
mæ pourras qu'à force d'éconcense suf-
être aux débours- consdérables 7re-
travers l'Atlantique Le gouverne-
nent suédois a accepté une invilalion
de la poste anglaise de coopérer à
l'établissement de cette communica-
tion.
————— 2 0 ————
Un aéroport sur le toit d’un
bureau de poste
Chicago O1 projetle un aéroport
sur le toit du bureau de poste de Chi-
cago que l'on doit construire sous
peu Des aéroports semblables se-
raient construits sur le toit des bu-
reaux de poste de New-York Phile-
deipiée, Pittsburgh et Boston
Cconstruc toe
coaverable e
\lades et des imfrmes qui se recom-
cl
De fait. La question était sérieuse-
ment à létude puisque. depuis ii à
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